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Jerome Humbrech / L'est Republicain / Maxppp
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En s’orientant vers la mise en examen d’une protagoniste du dossier, la grand-tante de Grégory Villemin, la justice espère enfin trouver la clé de l’énigme. Et démentir les échecs des précédents magistrats.
Le juge Dominique Brault sera-t-il celui qui mènera l’affaire Grégory jusqu’au procès ? La responsabilité qui pèse sur ses épaules est d’autant plus lourde qu’elle s’exerce après quarante ans de loupés et de faux espoirs pour les parents de l’enfant, Jean-Marie et Christine Villemin. Au point qu’on a pu parler de « malédiction de la Vologne ».
Celui qui dirige les investigations à Dijon vient de franchir une étape cruciale dans ce dossier. Le 18 juin, il a signé un arrêt majeur réclamant la convocation de Jacqueline Jacob, la grand-tante de l’enfant, en vue de la mettre en examen. Non pas pour assassinat – la scène de crime demeure encore et toujours non identifiée –, mais pour « association de malfaiteurs criminelle ». En clair, le magistrat estime disposer de suffi samment d’éléments pour considérer Jacqueline Jacob comme partie prenante du projet criminel qui a abouti à la mort de l’enfant. Dans un rôle précis : celui du « corbeau ».