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Affaire Bétharram : l’audition de Bayrou tourne au bazar, entre mises en cause, vidéo et bug technique

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Le Premier ministre a notamment accusé la Commission d’enquête présidée par la socialiste Fatiha Keloua Hachi de partialité.

Par Anthony Berthelier et Émilie Garcia

POLITIQUE - Spectaculaire. L’audition très attendue de François Bayrou par la commission d’enquête sur l’affaire Betharram a donné lieu, ce mercredi 14 mai, a plusieurs scènes pour le moins particulières à l’Assemblée nationale. Le Premier ministre a notamment accusé l’instance de partialité, et tenté d’imposer la projection d’une vidéo pour le démontrer. Ce qui n’avait pas été prévu.

« Vous m’avez demandé de vous soumettre à l’avance les documents et je n’avais aucune envie de vous soumettre les documents », a donc assumé le chef du gouvernement, après plus d’une heure de premiers échanges tendus. Et d’ajouter, comme vous pouvez le voir dans notre vidéo en tête de l’article : « Il se trouve que je n’ai pas eu le sentiment que la commission était totalement objective. »

Une mise en cause pas franchement appréciée par Fatiha Keloua Hachi, la présidente (PS) de la Commission. « On a parlé de projection de deux documents, mais pas de vidéo d’une personne qui était sous serment », a-t-elle protesté, refusant dans un premier temps de faire diffuser la vidéo en question, et réaffirmant le rôle de son instance : « contrôler l’État et l’action de l’État. »

Il s’agissait d’un extrait d’une précédente audition de la commission d’enquête, celle de l’ex-professeur à Bétharram Françoise Gullung. François Bayrou a ensuite a accusé la commission d’avoir fait un « compte rendu fallacieux » de cette audition dans une ambiance de tension, des députés MoDem présents dans la salle venant en appui de la demande du Premier ministre. Fatiha Keloua Hachi a fini par autoriser la diffusion de la vidéo, mais finalement rendue impossible par un problème technique.

Sur le fond, le chef du gouvernement a maintenu n’avoir « pas eu d’autre information » que « par la presse » lorsqu’il était ministre de l’Éducation nationale dans les années 1990 sur les violences physiques et sexuelles au collège / lycée Notre-Dame de Bétharram. Il a également dénoncé, sans relâche, la « méthode » du coraporteur (LFI) Paul Vannier, l’accusant de « nourrir un procès en scandale » et le traitant notamment de « menteur ».

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