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Damien Cassé, conseiller municipal d'opposition de Noisiel et ex-compagnon de la députée La France insoumise (LFI) Ersilia Soudais, a été relaxé pour la deuxième fois par la justice. Après une plainte pour viol classée sans suite en 2024, l'homme politique était, cette fois-ci, accusé de harcèlement moral devant le tribunal correctionnel de Meaux.
Poursuivi pour harcèlement moral, Damien Cassé, l'ex-compagnon de la députée LFI de la 7e circonscription de Seine-et-Marne, Ersilia Soudais, a été relaxé « au bénéfice du doute » selon une information du quotidien Le Parisien. Ersilia Soudais avait déposé plainte contre son ancien compagnon en mars 2024. Selon le quotidien, la députée avait décrit le contrôle de ses comportements par Damien Cassé entre 2021 et 2024. Celui-ci « voulait tout savoir de son emploi du temps ». Durant l'audience, Ersilia Soudais a par ailleurs confié qu'elle « préférait parfois dormir à l’Assemblée nationale, un "lieu de respiration", pour éviter son ex-compagnon », rapporte Le Parisien.
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Dans ce contexte, Damien Cassé, conseiller municipal d'opposition de Noisiel, toujours en Seine-et-Marne, avait comparu le 21 mai devant le tribunal correctionnel de Meaux, dans ce même département. Ses avocats avaient plaidé la relaxe, tandis que le parquet avait requis une peine d'avertissement, « entre quatre et six mois de prison avec sursis et une interdiction de contact pendant trois ans avec la victime ».
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L'intéressé a plaidé son innocence en justifiant cette plainte par un « contexte d'adultère » et la situation politique. « Je la sentais s’éloigner. Elle pouvait me dire qu’elle était tombée amoureuse d’un collaborateur. Il lui suffisait de me dire que c’était fini et j’aurais arrêté », avait-il affirmé au tribunal. Il avait, auparavant, été visé par une plainte pour viol par Ersilia Soudais, classée sans suite par le parquet de Meaux en 2024. Il est donc, pour la deuxième fois, exempt de toute condamnation.