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Selon une récente étude de l’INED (Institut National d’Etudes Démographiques), les enfants d’immigrés nord-africains (Tunisie-Algérie-Maroc), soit la deuxième génération née en France, représenteraient environ 11 % de la population française, soit 7,3 millions.

Ils vivent généralement en banlieue et ont un comportement nocif, avec prises importantes de risques car ils sont surexposés au chômage et aux discriminations : drogue, alcool, accidents de la route, etc.

Ce qui implique qu’ils vivent moins longtemps que ne vivaient leurs parents, à cause d’une surmortalité plus élevée.

Grandir dans de tels quartiers limite les opportunités, avec retard en matière d’éducation, discrimination à l’embauche, risque d’être sous-payés, etc.

Et tous ces facteurs expliqueraient leurs comportements agressifs, leurs révoltes, les rixes, les casseurs, les agressions contre la police, les pompiers et tout ce qui représente l’identité et les valeurs républicaines françaises.

*Ne venons-nous pas, une fois de plus, de le constater dans ce qui aurait dû être une fête, de la joie, et ce qu’ils en ont fait : des émeutes, des pillages, des morts !

En grande majorité ils ne s’intègrent pas car ils ne veulent pas s’intégrer : ils veulent s’opposer, provoquer et imposer leurs mœurs et coutumes, leurs lois. Faire peur !

Ceux qui parviennent à s’extraire de cette majorité réussissent parfaitement à intégrer la société française et y trouvent leur place.

La preuve irréfutable réside dans les excellentes performances des étudiants marocains et cela depuis des décennies.

Ce qui est bien plus grave, c’est qu’à ces plus de sept millions de descendants d’immigrés sont venus s’ajouter quelques dizaines de milliers de demandeurs d’asile et plusieurs centaines de milliers de migrants clandestins et c’est ce surplus qui cause problème et explique la montée des populismes en Europe et dans le monde.

Ce rapport aurait dû interpeller le MEDEF, par exemple.

On pourrait imaginer un patron du MEDEF suffisamment courageux pour ne pas se dégonfler comme une baudruche devant ce qui se passe en France actuellement.

« La France en faillite », déjà sous François Fillon, et au bord du gouffre aujourd’hui, sans doute en partie par leur aveuglement intéressé.

*Nous payons actuellement 100 milliards d’intérêts pour notre dette qui va atteindre prochainement les 3400 milliards.

Quelques pays européens ont réussi à réguler ce péril. Ce n’est pas le cas de la France et cela explique cette colère qui progresse parmi une majorité des citoyens.

Si ces migrants irréguliers sont un danger, et c’est le cas, comme il est impossible de pratiquer un retour à l’envoyeur en quelque sorte, que l’on puisse, pour le moins, fermer la porte d’entrée !

Vous avez compris qu’il s’agit d’un vœu pieux : nous sommes déjà dans le gouffre et, je le crains, même avec la meilleure volonté, personne ne sauvera le pays.

*Comme l’a annoncé Philippe de Villiers : Le prochain président sera un « président martyr ».

Manuel Gomez