Language

         

 Publicité par Adpathway

20 ans après le référendum sur la Constitution européenne, "croyons-nous encore en la politique ?"

1 month_ago 1

         

NE LAISSER PAS LE 5G DETRUIRE VOTRE ADN Protéger toute votre famille avec les appareils Quantiques Orgo-Life®

  Publicité par Adpathway

À la Une de la presse ce jeudi 29 mai 2005, les 20 ans du "Non" au référendum sur la Constitution européenne, dont les conséquences se mesurent encore aujourd'hui ; une enquête sur les retombées économiques locales de la politique migratoire de Donald Trump ; le combat des victimes du système massif de vols d'enfants pour l'adoption en Corée du Sud entre 1950 et 1990 et enfin, les réactions anglaises et espagnoles à la finale de la Ligue Europa Conference. 

À la Une de la presse ce matin, un anniversaire. Le 29 mai 2005, les Français rejettent par référendum le traité visant à établir une Constitution européenne. 

20 ans plus tard, une question : qu'est devenue la France du "non" ?

Le Figaro rappelle qu'à l'époque, la gauche anti-libérale s'allie à la droite souverainiste, dans les prémices des mouvements populistes, comme les gilets jaunes, et des fractures françaises actuelles. Elles opposent toujours les classes populaires, qui avaient voté majoritairement "non", aux élites, majoritairement en faveur du "oui".

20 ans plus tard, qu'est devenu le "plombier polonais" se demande de son côté le journal de gauche Libération ? Le plombier polonais, symbole à l'époque du travailleur détaché, et du dumping social : ce fut l'un des arguments qui fit pencher la balance en faveur du "non", rappelle ce matin Libération.

Mais deux ans après le référendum, la France ratifie en 2007 le Traité de Lisbonne, qui en reprend les principaux éléments. Un "coup d'État libéral" pour le quotidien communiste l'Humanité. Cette trahison du verdict populaire a ouvert une grave crise démocratique en France, et favorisé la montée de l'extrême droite et de l'abstention.

20 ans plus tard, "croyons-nous encore en la politique" ? Question posée sur le site de Radio France.

En tout cas depuis ce jour, plus aucun président de la République ne s'est aventuré sur le terrain du référendum.

À la Une de la presse également, une enquête du Washington Post, sur les retombées économiques locales de la politique migratoire de Donald Trump.

Bienvenue à Winnfield en Louisiane, petite ville rurale rongée par le déclin économique. Pourtant, elle retrouve des couleurs à la faveur de son centre de détention pour migrants.

C'est même devenu "le pilier de l'économie locale" selon cette enquête du Washington Post. Ouvert en 2019, ce centre de 1 600 lits, le plus grand de l'État, crée des emplois bien rémunérés et permet de financer d'autres services locaux comme les écoles.

Et dans une ville où le quart de la population est touchée par la pauvreté, cette activité atténue les critiques contre la politique migratoire de Donald Trump.

Une politique sévère, mais loin des promesses du candidat républicain. Selon NBC News, les expulsions actuelles, bien qu'elles aient augmenté sur un an, sont encore très loin de l'objectif de Donald Trump. C'est en 2013 que le record avait été établi, sous la présidence de Barack Obama, avec environ 430 000 personnes expulsées sur un an. 

Le rythme est deux fois moins important actuellement. Mais l'administration Trump veut rattraper son retard : elle a augmenté de 50 % le nombre de centres de détention et la fréquence des vols d'expulsion.

À la Une de la presse ce jeudi, la Corée du Sud, où une commission d'enquête fait la lumière sur des décennies de système d'adoptions illégales, en Une du journal Le Monde.

Entre 1950 et 1990, près de 200 000 enfants originaires de Corée du Sud ont été adoptés dans au moins 14 pays différents, souvent de manière illégale. La faute aux agences d'adoption, toutes puissantes à l'époque. Elles ont massivement falsifié des documents pour créer des déclarations frauduleuses d'orphelins.

Un système mafieux de pots-de-vin, versés à des hôpitaux ou aux autorités, a permis à ces agences de créer des enfants dits "adoptables". Ces enfants, faussement déclarés comme morts ou abandonnés, ont été enlevés à leurs parents biologiques.

Exemple avec Choi Young-ja, 72 ans aujourd'hui, interrogé par AP News. Son fils, déclaré disparu à 3 ans, a été envoyé en Norvège en 1975. C'est avec l'aide d'associations, qu'en 2023, grâce à un test ADN, elle le retrouve, âgé de 52 ans.

Aujourd'hui, elle attaque et demande réparation à l'État sud-coréen et à l'agence d'adoption Holt à l'origine d'une "fabrique d'orphelins" selon la Commission d'enquête. 367 plaintes ont été enregistrées depuis 2022.

À la Une de la presse espagnole et britannique enfin, les réactions à la victoire de Chelsea en finale de Ligue Europa Conference. 

À lire aussiLigue Europa Conférence : Chelsea complète sa collection face au Betis Séville

Le club londonien entre dans l'histoire en devenant la première équipe européenne à remporter les trois principales coupes sur le Continent : la Ligue des champions, la Ligue Europa et désormais la Ligue Conference, la moins prestigieuse des trois.

"L'Europe ? C'est fait mon pote !" peut-on lire en première page du Mirror Sports ce matin.

Même tonalité en Une du Daily Mail : "les Blues complètent l'ensemble", après avoir renversé le Bétis Séville 4 buts à 1.

Côté espagnol, c'est la soupe à la grimace : "atterrissage forcé pour le rêve sévillan brisé", en Une du quotidien sportif AS.

Le Bétis Séville s'incline aux termes d'une "finale cruelle" pour Marca, où les Sévillans ont largement dominé en première période avant de s'effondrer.

read-entire-article

         

        

NE LAISSER PAS LE 5G DETRUIRE VOTRE ADN  

Protéger toute votre famille avec les appareils Quantiques Orgo-Life®

  Publicité par Adpathway