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XV de France : «Je préfère retenir le plaisir qu’on a pris», positive Louis Bielle-Biarrey

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Après deux matches sans marquer, l’ailier de Bordeaux-Bègles a inscrit samedi un doublé face aux Wallabies. S’il pointe volontiers les défauts à gommer, il préfère retenir ce réveil de l’attaque des Bleus.

Vous avez inscrit un doublé. On imagine que vous êtes satisfait…
Louis Bielle-Biarrey : Au-delà de ma performance individuelle, on s’est bien retrouvé en attaque. C’est un bon match, oui et non. On voit qu’en défense, on a été un peu légers ce (samedi) soir encore, par moments. Chapeau aux Australiens qui ont bien joué. Il y a la discipline, aussi, qui a été un point assez compliqué, notamment en première mi-temps. Cela leur a permis tout le temps de revenir dans notre camp et de marquer des points. Mais c’est un bon match sur le plaisir qu’on a pris. Par contre, sur certains points défensifs et la discipline, c’était un peu plus compliqué. Je préfère retenir le plaisir qu’on a pris.

Avec ce doublé, est-ce qu’il y avait une forme de libération par rapport aux autres matches qui avaient été compliqués ? 
Si je passe des matchs sans marquer, ce n’est pas la fin du monde non plus. Mais c’est vrai que je suis tout le temps content de marquer. C’est toujours des émotions fortes, surtout en équipe de France. Je suis très content d’avoir marqué, mais plus content par rapport à l’équipe et tout le travail qui avait été mis en place.

Je n’ai pas tout en tête, mais c’est vrai qu’on n’est pas assez discipliné pour jouer à ce niveau-là Passer la publicité

Vous êtes pénalisés huit fois en première mi-temps. Que s’est-il passé ?
On était prévenu mais on était souvent pris hors-jeu. C’était le focus de la semaine mais, malheureusement, ça n’a pas suffi. On prend encore deux ou trois pénalités sur des hors-jeu. Je ne sais pas comment toutes les expliquer, je n’ai pas tout en tête, mais c’est vrai qu’on n’est pas assez discipliné pour jouer à ce niveau-là. Aujourd’hui, ça passe, on est content. Mais on a vu que face aux Sud-Africains, c’était beaucoup plus compliqué, et même face aux Fidjiens. On sait ce que l’on a à travailler.

Malgré les problèmes rencontrés durant le match, vous n’avez pas baissé les bras et continué d’attaquer… 
On a quand même des joueurs assez bons offensivement, donc on n’allait pas s’arrêter. Mais oui, on a été mis en échec dans certains domaines du jeu, notamment en attaque sur les deux premiers matchs. On a mis au point deux-trois trucs durant la semaine sur notre jeu, comme essayer de plus l’aérer et ça nous a réussi. J’espère que c’est de bon augure pour la suite.

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Ça fait du bien de retrouver un peu de plaisir. Cela n’avait pas été le cas lors des deux premières sorties…
C’est sûr qu’on s’est facilement trouvés entre les gros et les trois-quarts sur ce match. Les gros ont fait aussi un superbe match et c’est toujours plus facile quand les gros dominent. Je ne vais pas vous apprendre le rugby… (sourire) Et nous, derrière, on a été plus précis, ce qui n’avait pas forcément été le cas sur les deux premiers matchs. Donc quand les gros et les trois-quarts font le travail, on arrive à prendre plus de plaisir en attaque.

Contre les Fidji, on a fait trop d’erreurs individuelles derrière, moi le premier d’ailleurs

Le premier essai que vous marquez, avec ce petit par-dessus, est parfaitement exécuté…
C’était l’idée que j’avais et ça se passe plutôt bien… (sourire) Des fois, ça ne part pas tout le temps exactement où je veux du pied gauche. Là, ça m’a réussi et je suis vraiment content parce que c’est un essai qui nous fait du bien. (...) Avec Damien, on se connaît et on se comprend aussi. C’est l’avantage. Quand je le vois ramer, je sais que c’est plus ou moins qu’il va me faire la passe, donc je peux anticiper un peu. Ce sont des petits automatismes qu’on n’avait pas forcément sur les deux premiers matchs. Il ne faut pas oublier que, notamment le premier match, on n’a eu que trois ou quatre entraînements pour se préparer face à la meilleure équipe du monde. C’était compliqué de trouver des automatismes, on n’avait pas joué ensemble depuis le Tournoi. Et contre les Fidji, on a fait trop d’erreurs individuelles derrière, moi le premier d’ailleurs. Sur ce match, c’est vrai que dès qu’on se trouve et qu’on arrive à mettre de la vitesse, c’est vraiment plus facile.

S’il y a un bilan à tirer de cette tournée, en se projetant sur la Coupe du monde, quel serait-il ? 
Il faut qu’on soit ambitieux dans le jeu et que défensivement, on soit plus précis et qu’on axe le problème de la discipline. Je pense que si on arrive à faire ça, on se rapprochera des meilleurs.

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