Language

         

 Publicité par Adpathway

Vous aussi vous pouvez aider la Nasa à découvrir une exoplanète avec un eVscope !

1 week_ago 21

         

NE LAISSER PAS LE 5G DETRUIRE VOTRE ADN Protéger toute votre famille avec les appareils Quantiques Orgo-Life®

  Publicité par Adpathway

L'eVscope (Enhanced Vision Telescope) de la société Unistellar permet à tout un chacun de faire de la science citoyenne d'une façon dont n'auraient pas osé rêver ni Newton, ni ni William Herschel. Tout récemment, 24 astronomes citoyens ont vu leur travail reconnu grâce à l'aide qu'ils ont apportée à la Nasa pour débusquer une exoplanète difficilement observable.

Au début du XXe siècle, les théoriciens de la formation du Système solaire par effondrementeffondrement d'une nébuleuse protosolaire en rotation s'étaient heurtés à une difficulté : alors que l'essentiel de sa masse se trouve dans notre étoile, le Soleil ne représente qu'une petite fraction du moment cinétiquemoment cinétique total qu'il devait posséder initialement.

Cette contradiction avait conduit à l'abandon de ce modèle au profit de celui qui laissait penser que les planètes se sont formées dans un courant de matièrematière arrachée au Soleil par une étoile passée trop près. Ce scénario avait été avancé notamment, en 1904, par le géologuegéologue Thomas Chamberlin et l'astronomeastronome Forest Moulton, puis par le physicienphysicien James Jeans en 1917. Or, un tel évènement doit être rare, car la distance moyenne entre les étoiles est de plusieurs années-lumièreannées-lumière et les collisions très improbables. La conclusion était donc que les systèmes planétaires devaient être très rares également.

On se trompait lourdement...

Comme Futura l'avait expliqué dans un précédent article, la théorie de la nébuleuse protosolaire allait cependant être relancée après la Seconde Guerre mondiale, notamment parce que l'astrophysicienastrophysicien états-unien Lyman Spitzer (1914-1997), l'homme derrière le concept de stellarator, avait montré que le courant de matière issue du Soleil dans la théorie de Chamberlin-Moulton était bien trop chaud pour pouvoir se condenser en planètes. Aujourd'hui, plus personne ne doute de son bien-fondé. En ce début de XXIe siècle, nous savons de plus que les systèmes planétaires sont très fréquents dans la Voie lactéeVoie lactée et nous observons des planètes en formation dans des nuagesnuages effondrés.

Comme son nom le laisse deviner, l'exoplanèteexoplanète TOI-4465 b fait partie des TessTess Objects of Interest (TOIs), c'est-à-dire des exoplanètes découvertes par la méthode des transits planétairestransits planétaires avec le télescope spatialtélescope spatial Tess (Transiting Exoplanet Survey Satellite) de la NasaNasa. On peut faire connaissance avec TOI-4465 b en consultant sa page sur le célèbre site de l'Encyclopédie des planètes extrasolaires, fondé en 1995 par l'astronome Jean Schneider de l'observatoire de Paris.

Une science participative avec les exoplanètes en plein essor avec Unistellar

TOI-4465 b est sur le devant de la scène en ce moment, car elle est un excellent exemple de science participative et de la démocratisation spectaculaire de l'astronomie observationnelle depuis une décennie, notamment depuis quelques années avec le DUAO (Diplôme universitaire d'astronomie observationnelle) de l'Observatoire de la Côte d'Azur (OCA)

Dans le cas présent, ce sont 24 astronomes amateurs issus de dix pays et membres de la plus grande communauté mondiale d'astronomes citoyens - le réseau Unistellar en liaison avec l'Institut Seti - qui ont fourni grâce aux eVscope d'Unistellar (pionnier des télescopes intelligents à vision amplifiée et dont Futura vous parle depuis des années), des observations cruciales permettant de confirmer par la méthode des transits l'existence de cette nouvelle exoplanète.

TOI-4465 b est ce que l'on appelle une géante gazeusegéante gazeuse. Elle est située à environ 400 années-lumière du Soleil et elle effectue une orbiteorbite autour de son étoile tous les 102 jours - ce qui n'en fait pas une Jupiter chaudeJupiter chaude, mais une exoplanète froide. Dans un communiqué d'Unistellar, il est précisé que « les exoplanètes à longue période sont notoirement difficiles à confirmer, car il est rare de pouvoir observer un second transit, ce qui nécessite des campagnes d'observation prolongées sur plusieurs mois ».

Les noms des astronomes citoyens ayant donc collaboré dans ce but avec les membres de la mission Tess de la Nasa sont indiqués dans un article dont on peut trouver une version en accès libre sur arXiv.

Dans le même communiqué, Franck Marchis, astronome au Seti Institute et directeur scientifique d'Unistellar ayant déjà accordé plusieurs interviews à Futura, déclare : « Désormais, grâce aux télescopes numériquesnumériques intelligents, chacun peut observer et confirmer des exoplanètes depuis son jardin, en aidant la Nasa à cartographier les systèmes planétaires proches détectés par la mission Tess. TOI-4465 b illustre parfaitement l'importance de la science citoyenne pour les planètes à longue période, dont les transits sont rares. Le réseau Seti/Unistellar est donc essentiel à ces découvertes ».

read-entire-article

         

        

NE LAISSER PAS LE 5G DETRUIRE VOTRE ADN  

Protéger toute votre famille avec les appareils Quantiques Orgo-Life®

  Publicité par Adpathway