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Une augmentation de 38 % des appels pour violence conjugale à Sudbury en 2024

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La version audio de cet article est générée par la synthèse vocale, une technologie basée sur l’intelligence artificielle.

En 2024, les agents de police ont répondu à 2 857 appels liés à la violence domestique, soit une augmentation de 38 % par rapport à l’année 2023, selon le rapport annuel de criminalité de 2024, du Service de police du Grand Sudbury.

Les agents auraient répondu à huit cas chaque jour au cours de ladite période.

La situation très est préoccupante et sous-estimée, selon la cheffe du Service de police du Grand Sudbury, Sara Cunningham.

[…] bien que nous remarquons une augmentation des cas dans la région, nous savions qu’il existe plusieurs individus qui ne dévoilent pas leurs relations abusives aux policiers, a estimé la cheffe.

Toutefois, le rapport annuel indique aussi une diminution de 4 % d’infractions pénales dans la ville du Nickel.

Une femme assise dans son bureau portant une tenue de police.

Sara Cunningham espère que ses agents de police soient compétents dans des situations de violence domestique.

Photo : Radio-Canada / Yvon Thériault

Les forces policières ont suggéré du financement de près de 150 000 $, pour la création d’un programme de réponse communautaire virtuelle pour une période de cinq ans.

Cette approche permettra aux agents de répondre aux appels pour violence conjugale à distance.

Des chiffres qui ne surprennent pas 

Marlene Gorman, la directrice générale du refuge Genevra House du YWCA à Sudbury indique qu’elle reçoit près de quatre appels au quotidien de femmes qui quittent des partenaires violents. Elle n’est donc pas surprise des données dévoilées, mercredi.

Une femme souriante assise dans une salle.

Marlene Gorman, directrice générale du YWCA, travaille dans le secteur des services sociaux depuis plus de 30 ans.

Photo : CBC/Aya Dufour

Le refuge de 32 lits est souvent rempli selon elle.

Le plus décourageant, c’est lorsque des femmes nous appellent, nous sommes pleines et nous n’avons pas de lits pour elles et leurs enfants, et nous devons explorer d’autres solutions, indique-t-elle.

Elle demande au gouvernement provincial de déclarer la violence conjugale comme une épidémie en Ontario, espérant que ce geste ouvre des portes pour davantage d’appui.

Une pénurie de logements abordables empêche les victimes de quitter le refuge, conclut-elle.

Avec les informations de CBC.

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