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Keven Mathieu aurait pu faire d’autres victimes, selon la Sûreté du Québec.

Keven Mathieu a été remis en liberté sous plusieurs conditions.
Photo : Facebook / Keven Mathieu
La version audio de cet article est générée par la synthèse vocale, une technologie basée sur l’intelligence artificielle.
Un enseignant en éducation physique de l’École Jésus-Marie de Beauceville fait face à quatre chefs d’accusation pour des infractions de nature sexuelle qu'il aurait commises sur une adolescente vis-à-vis de laquelle il était en situation d’autorité ou de confiance.
Keven Mathieu a comparu jeudi matin au palais de justice de Saint-Joseph-de-Beauce sous des chefs d’accusation de contacts sexuels et d’incitation à des contacts sexuels, d’agression sexuelle et de leurre d’une personne âgée de moins de 18 ans.
Les actes reprochés se seraient déroulés entre 2016 et 2017 à Beauceville. La Sûreté du Québec indique que le résident de East Broughton aurait pu faire d’autres victimes.
Ce n’est pas exclu, c’est ce que l’enquête tend à démontrer. À l’heure actuelle, personne d’autre n’a porté plainte contre cette personne-là, a précisé Audrey-Anne Bilodeau, porte-parole à la Sûreté du Québec.
Keven Mathieu était en larmes au moment de sa comparution. L’homme de 34 ans a été remis en liberté sous plusieurs conditions. Il ne peut pas communiquer avec sa présumée victime ni les membres de sa famille ou se trouver en présence de mineurs, à l’exception de ses enfants, auquel cas un autre adulte doit être présent.
Il lui est également interdit de fréquenter un endroit public où se trouvent des mineurs et d’occuper un emploi, rémunéré ou non, où il se trouve en relation de confiance vis-à-vis des personnes de moins de 16 ans. L’accusé ne peut pas non plus utiliser de réseaux sociaux ou Internet pour clavarder.