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Un début de saison prometteur pour les parcs nationaux de la région

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Les amateurs de plein air sont au rendez-vous dans les parcs de la Sépaq. Alors que l’organisme enregistre une hausse des réservations estivales pour l’ensemble de la province, la saison s’annonce bonne aussi dans la région.

Au parc national d’Opémican, les réservations de prêt-à-camper sont en hausse par rapport à l’année précédente, indique Carine Bergeron, directrice du parc.

À travers la province, généralement les prêts-à-camper c’est quand même assez populaire, c'est ce qu’on remarque en ce moment, explique-t-elle.

Une route en gravelle mène à une cabine en bois et en toile.

Les prêts-à-camper du parc national d'Opémican sont populaires.

Photo : Radio-Canada / Bianca Sickini-Joly

Pour ce qui est des autres offres d’hébergement, en camping et en canot-camping notamment, les chiffres sont habituels.

Ce qui est intéressant pour les gens de la région qui voudraient réserver pour le mois de juillet, le mois d'août, ou à l’automne, on a encore de belles disponibilités, souligne Mme Bergeron.

La situation est aussi encourageante du côté du parc national d’Aiguebelle.

Il y a une augmentation [des réservations] à tous les niveaux, affirme Frédéric Bilodeau, directeur du parc d’Aiguebelle, malgré des problèmes au niveau des puits des différents campings qui ont ralenti le début de saison.

Parc national d'Aiguebelle.

Le parc national d'Aiguebelle offre différents sentiers. (Photo d'archives)

Photo : Radio-Canada / Boualem Hadjouti

On a eu beaucoup d’annulations par rapport à ce problème-là, mais c’est réglé. Les choses devraient se replacer pour le reste de la saison, estime Frédéric Bilodeau.

Au parc d’Aiguebelle comme à celui d’Opémican, les visiteurs viennent principalement de l’Abitibi-Témiscamingue.

C'est environ 50 % de nos visiteurs qui viennent de l’Abitibi-Témiscamingue, ensuite on a à peu près 20 % de l’Ontario, rapporte Carine Bergeron. Ensuite, c'est des gens d’ailleurs au Québec qui viennent chez nous. Cette année, ça devrait être les mêmes proportions.

Des chiffres stables pour la réserve faunique La Vérendrye

À la réserve faunique La Vérendrye, la direction n’observe pas de hausse des réservations.

C’est assez stable, rapporte Johanne Vienneau, directrice de la réserve faunique La Vérendrye. On a une clientèle qui est fidèle, qui revient d’une année à l’autre.

Si plusieurs terrains de camping sont toujours disponibles pour l’été, il reste peu de disponibilité pour les chalets, souvent réservés plusieurs mois à l’avance.

Des chaloupes à moteur sur une plage au bord d'un lac.

Le Grand lac Victoria dans la réserve faunique La Vérendrye. (Photo d'archives)

Photo : Radio-Canada / Marc-André Landry

C’est habituel, estime Johanne Vienneau. C’est normal si l’on compare d’une année à l’autre.

Avec une clientèle d’habitués et majoritairement québécoise, la directrice ne s’attend pas à beaucoup d’évolution de fréquentation pour cet été.

De manière générale, si la fréquentation est bonne en ce début d’été, elle est loin d’atteindre les niveaux records obtenus pendant la pandémie pour les parcs nationaux.

On voit une légère avance, par contre on est très loin des années de la pandémie où là notre taux d’occupation avait explosé et les réservations étaient quasiment à capacité, rappelle Carine Bergeron. On est loin de ça pour le moment.

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