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Troisième journée de recherche après l’écrasement d’un hélicoptère d’Airmedic

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Les recherches se poursuivent pour une troisième journée après l’écrasement d’un hélicoptère médical de la compagnie Airmedic dans le lac Watshishou au nord de Natashquan vendredi soir, vers 22 h 30.

Un membre d’équipage a réussi à s'extirper de l'hélicoptère et a par la suite été retrouvé sain et sauf, mais les quatre autres personnes qui étaient à bord de l'appareil sont toujours portées disparues, tout comme l'hélicoptère.

Carte du lieu de l'écrasement.

L'écrasement a eu lieu dans le lac Watshishou.

Photo : Radio-Canada

Tous les aéronefs de l’Aviation royale canadienne ont mis fin à leurs recherches dimanche à 15 h, a déclaré Len Hickey, officier supérieur des affaires publiques au Centre conjoint de coordination des opérations de sauvetage des Forces armées canadiennes.

Les appareils avaient effectué une recherche visuelle approfondie autour de la dernière position connue de l'hélicoptère, mais cela s'est avéré infructueux, a-t-il précisé lundi.

Des plongeurs de la Sûreté du Québec (SQ) sont notamment mobilisés pour mener les recherches.

Dans un communiqué partagé lundi, Airmedic réitère sa décision de suspendre temporairement ses opérations afin de prioriser le bien-être de ses équipes.

L’entreprise déclare également avoir mis en place l’ensemble des ressources psychosociales nécessaires pour accompagner leurs employés, soulignant qu’il s’agit d’un moment de profonde tristesse pour l’ensemble de la grande famille Airmedic.

Les circonstances de l’accident à éclaircir

D’après le pilote à la retraite et expert en aviation civile Jean Lapointe, plusieurs éléments météorologiques peuvent rendre les conditions de vol difficiles en Minganie.

Si les appareils d’aujourd’hui notamment équipés de radio satellitaire sont mieux préparés pour voler dans ces conditions, l’expert explique que les ondes émises par ces radios ne se rendent pas jusqu’aux équipes de sauvetage si l’appareil est au fond de l’eau.

Jean Lapointe, expert en aviation civile.

Jean Lapointe, expert en aviation civile. (Photo d'archives)

Photo : Radio-Canada

Jean Lapointe ajoute que lorsqu’un appareil percute un plan d'eau, c'est comme percuter un mur de ciment; les chances de pouvoir survivre sont minimales.

Cette personne-là peut se considérer chanceuse aujourd'hui, déclare M. Lapointe à propos du membre d’équipage qui a réussi à s'extirper de l’engin.

Une enquête indépendante, menée par le Bureau de la sécurité des transports du Canada (BST) et la SQ, a déjà été ouverte afin de faire la lumière sur les causes de l'écrasement. Airmedic a dit collaborer pleinement à cette enquête.

Selon les informations préliminaires recueillies par le BST, l'hélicoptère effectuait une évacuation médicale et s'est écrasé dans un lac peu après le décollage.

La Commission des normes, de l'équité, de la santé et de la sécurité du travail (CNESST) est aussi impliquée.

Avec les informations de La Presse canadienne

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