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La bibliothèque publique de Thunder Bay a décidé d’engager une nouvelle personne comme conseiller(ère) autochtone pour soutenir son plan d’action en faveur de la réconciliation. L’organisation à but non lucratif autochtone Anishinabek Employment and Training Services (AETS) estime que c’est une action insuffisante.
Stephanie MacLaurin rejoint l’équipe opérationnelle de la bibliothèque publique de Thunder Bay à ce rôle qui permet d’établir des relations avec les autochtones et le décrit comme le premier chapitre d’une histoire qui ne demande qu’à être écrite avec passion et détermination.
Je suis très enthousiaste à l’idée d’occuper le poste de conseiller(ère) principal aux relations avec les populations autochtones et d’avoir la chance d’investir mon cœur dans quelque chose de vraiment significatif, explique Stephanie MacLaurin dans un communiqué.
Entrer dans ce nouveau rôle, c’est comme entrer dans la vie pour laquelle je me suis investi(e).

Stephanie MacLaurin rejoint l’équipe opérationnelle de la bibliothèque publique de Thunder Bay.
Photo : Photo fournie par la bibliothèque publique de Thunder Bay
Stephanie MacLaurin est Anishinaabe de la Première Nation de Fort William.
La bibliothèque publique de Thunder Bay soutient que son plan en faveur de la réconciliation décrit ses engagements à l’égard des appels à l’action de la Commission de vérité et de réconciliation et de la décolonisation des pratiques et des espaces de la bibliothèque.
Réponse insuffisante
L’organisation à but non lucratif autochtone Anishinabek Employment and Training Services (AETS) explique qu’elle se réjouit de la nomination de Stephanie MacLaurin.
Toutefois, elle trouve que l’action de la bibliothèque est une réponse insuffisante et qui a tardée à venir.
L’AETS est en conflit avec la bibliothèque publique de Thunder Bay à cause d’un contrat de bail qui a été résilié par la bibliothèque.
Nous avons été soumis à un processus de résiliation de bail irrespectueux qui sape la coopération et la confiance que nous avons travaillé si dur à construire au fil des ans.
L’organisme autochtone, qui louait des espaces dans la bibliothèque publique de Thunder Bay, stipule aussi avoir investi plus d’un million de dollars en infrastructures dans le bâtiment.
Elle se dit déçue de la résiliation du partenariat communautaire qu’elle avait avec la bibliothèque publique de Thunder Bay.
Pendant plus de sept ans, TBPL (bibliothèque publique de Thunder Bay) a eu l’occasion de travailler de manière significative avec (AETS) dans le cadre d’un partenariat formel. Cette opportunité n’a pas été pleinement exploitée. Cette dernière décision, même si elle part d’une bonne intention, n’efface pas des années de collaboration manquée et de potentiel non réalisé dans le soutien à l’engagement et à l’inclusion des autochtones, explique l’organisme à but non lucratif autochtone.
La bibliothèque publique de Thunder Bay explique que sa décision de résilier le bail avec AETS a été motivée par la gestion de l’espace.