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De gauche à droite : Anne Pascale Richardson, directrice du défi AquaHacking, Marie-Pier Brochu et Louis-Philippe Noel, co-fondateur de Sulys, et Réal Beauchamp, conseiller municipal à Rouyn-Noranda.
Photo : Facebook / AquaAction
La version audio de cet article est générée par la synthèse vocale, une technologie basée sur l’intelligence artificielle.
Le Groupe Sulys a remporté hier soir la finale du défi AquaHacking, qui s'est tenue au Petit théâtre du Vieux-Noranda, à Rouyn-Noranda.
La finale du défi AquaHacking a réuni 10 équipes de chercheurs qui ont imaginé des solutions pour aider à préserver l'eau douce et à réhabiliter des bassins versants pollués par l'industrie minière et d'autres secteurs d'activité humains.
Le Groupe Sulys, co-fondé par Louis-Philippe Noel, Maxime Miville Deschêne et Marie-Pier Brochu, a conçu un système qui détecte les espèces aquatiques envahissantes grâce à l'analyse ADN de l'eau.
Ils ont également mis sur pied une plateforme d’aide à la décision qui utilise l’intelligence artificielle.
Équipe locale en scène
L'équipe ÉcoSisko, de l'Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue, a réussi à se frayer une place parmi les dix finalistes. Elle a pour sa part imaginé le Filtr'Éco pour aider à dépolluer le lac Osisko. Leur filtre a été fabriqué à l'aide de cheveux et de copeaux de bois.
Lacus Cras, AquaPure Analytics et CADeau ont respectivement remporté la deuxième, la troisième et la quatrième place. Le prix du public a été remis à AQUORA.
Le premier prix remporté par Sulys s'accompagne d'une bourse de 20 000 $.
Le défi AquaHacking a été mis sur pied par AquaAction, une organisation caritative qui aide les entrepreneurs à développer des technologies dans le domaine de l'eau.