NE LAISSER PAS LE 5G DETRUIRE VOTRE ADN Protéger toute votre famille avec les appareils Quantiques Orgo-Life® Publicité par Adpathway
L'océan est source de vie. Pourtant, il est plus en danger que jamais. Mais pour David Attenborough, même à la veille de son 100e anniversaire, pas question de baisser les bras. Il nous embarque aujourd'hui pour celle qui sera peut-être la plus déterminante de nos aventures.
Sir David Attenborough. C'est peut-être le plus connu des défenseurs de notre Planète. Le « Champion de la Terre » consacré par les Nations unies. En plus de 70 ans de carrière, il a ramené des images époustouflantes des quatre coins du monde. Il nous a montré la vie dans ce qu'elle a de plus beau. De plus inattendu. De plus curieux. Ou de plus original. Pourtant, c'est bel et bien son dernier opus en date qu'il considère aujourd'hui comme le plus important de sa carrière.
Des images saisissantes de l’océan
L'appel de l'Océan, c'est son titre. Il sortira ce dimanche 8 juin 2025 sur National Geographic et sur Disney+.
Et cette fois, il ne s'agit pas tout à fait de s'émerveiller. Plutôt de nous noyer dans les images les plus saisissantes que David Attenborough ait eu à nous montrer. Avec pour seul point de repère, sa voix, reconnaissable entre toute. « Nous devons ouvrir les yeuxyeux sur ce qui se passe sous les vagues. Nous avons presque vidé l'océan de la vie alors, comment ne pas perdre espoir ? »
David Attenborough pose la question. Mais il a déjà sa réponse. « L'océan peut renaître. Laissé à lui-même, il pourrait non seulement se rétablir, mais prospérer au-delà de tout ce que nous n'avons jamais vu. » Et le défenseur de notre Planète prend justement les baleines à témoin. « Dans les années 1980, il en restait tellement peu que je me souviens avoir pensé que c'était fini. Qu'il n'y avait pas de retour en arrière possible. Que nous les avions perdues pour toujours ! » Mais lorsque leur chasse commerciale a finalement été interdite, les populations se sont reconstituées. Au début des années 2020, les scientifiques estimaient ainsi que la baleine à bosse aurait retrouvé 93 % de ses effectifs.
Un appel à l’action
« J'ai presque passé 100 ans sur cette planète, et je comprends maintenant que l'endroit le plus important sur Terre ne se trouve pas sur la terre ferme, mais en mer. Parce que si nous réussissons à sauver l'océan, nous aurons sauvé notre monde ! » Ne reste plus qu'à en convaincre les représentants des États rassemblés à Nice en ce mois de juin 2025 pour la conférence des Nations unies sur l'océan (Unoc-3).