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Le Directeur des poursuites criminelles et pénales (DPCP) a amorcé jeudi après-midi ses plaidoiries au procès de James Testa, à Rouyn-Noranda. Selon le DPCP, le témoignage de l’accusé, visé notamment par des chefs d’agression sexuelle et de traite de personne, comportait des éléments invraisemblables et exagérés.
Le DPCP a par exemple rappelé que James Testa a souvent utilisé le terme explosif pour décrire le tempérament des victimes au dossier, une allégation qui ne correspond pas à la réalité selon l’organisation.
Les plaidoiries se sont amorcées mercredi avec les arguments de la défense. L’avocat de James Testa, Mike Junior Boudreau, a tenté de démontrer que les victimes alléguées qui ont témoigné manquent de crédibilité, un point que conteste le DPCP.
Le DPCP, qui a défendu ses témoins, a par exemple soutenu qu’ils s’étaient exprimés de façon calme, posée et honnête.
Outre le témoignage de M. Testa, les avocates du DPCP croient que les proches de l'accusé qui ont témoigné en sa faveur l'ont fait de façon intéressée.
Elles doutent également que James Testa fût aussi impuissant qu’il a prétendu l’être face aux victimes alléguées.
James Testa, qui est visé par une trentaine de chefs d’accusation, dont agression sexuelle, traite de personnes, harcèlement criminel et menaces, a hébergé une vingtaine de personnes entre 2005 et 2022, jusqu’à en avoir 14 en même temps sous son toit.
Les plaidoiries se terminent vendredi.