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Alors que le jour des déménagements approche, l’Office municipal d’habitation de Rouyn-Noranda a mis en place une cellule spéciale pour aider les personnes en difficulté. De son côté, la SPCA d’Abitibi-Ouest se prépare à recevoir plus d'abandons.
À l’approche du 1er juillet, l’Office municipal de l’habitation de Rouyn-Noranda a mis en place un numéro d’urgence qui restera ouvert jusqu’au 13 juillet.
L’Office offre un Service d'aide à la recherche de logement (SARL), avec un service d’entreposage, d’aide au déménagement et d’hébergement d’urgence.
[Ces services] sont offerts aux citoyens dans le besoin, qui vivent une situation de vulnérabilité et qui ont besoin de soutien, explique Julie Mailloux, coordonnatrice du développement social et communautaire à la Ville de Rouyn-Noranda.
Julie Mailloux précise que ces services sont proposés toute l’année, mais pour la période des déménagements, plusieurs dispositions d’urgence ont été prises.
On a contacté préalablement les différents partenaires pour vérifier auprès d’eux qu’il y aurait de la place, indique-t-elle.
L’UQAT aura ainsi des places d’hébergement disponibles. Des ententes ont aussi été conclues avec des hôteliers pour éviter que des personnes se retrouvent à la rue à l’expiration de leur bail.
Risque d’abandon d’animaux
L’approche du 1er juillet inquiète également les refuges pour animaux de compagnie de la région.
En effet, les acteurs du secteur observent souvent une augmentation des abandons autour de cette date.
Ce n’est pas une date qu’on aime voir arriver, confie Fanny Veilleux, directrice de la SPCA d’Abitibi-Ouest.

Fanny Veilleux est directrice de la SPCA d’Abitibi-Ouest. (Photo d'archives)
Photo : Radio-Canada / Mathilde Blayo
Actuellement à La Sarre, on est plein, on déborde, indique-t-elle.
Alors en prévision du 1er juillet, elle essaie de faire de la place.
Là, on essaie de trouver des façons de faire adopter plus rapidement les pensionnaires qu’on a, avec des spéciaux sur le prix de l’adoption, explique Fanny Veilleux.
La SPCA d’Abitibi-Ouest est aussi en recherche de familles d’accueil prêtes à accueillir un animal pour quelques semaines.
La directrice demande aux personnes qui doivent se départir d’un animal de prendre contact avec les refuges de leur région, afin de trouver une solution autre qu’un abandon.