Réservé aux abonnés

Environ 12 millions de tonnes par an, soit un tiers des déchets plastiques qui se retrouvent dans l’environnement, sont charriées par les fleuves et les cours d’eau dans l’océan.

Environ 12 millions de tonnes par an, soit un tiers des déchets plastiques qui se retrouvent dans l’environnement, sont charriées par les fleuves et les cours d’eau dans l’océan. FRANCO BANFI / Biosphoto via AFP

DÉCRYPTAGE - La troisième conférence des Nations unies sur l’océan a permis la création ou le renforcement d’initiatives internationales.

Plus de soixante chefs d’État et de gouvernement et des hauts représentants de plus de 120 pays se sont réunis à Nice pour la troisième conférence des Nations unies sur l’océan. Une occasion unique prise par de nombreuses nations pour faire avancer des initiatives internationales et des négociations onusiennes qui patinent.

Également appelé « BBNJ » (Biodiversity of Areas Beyond National Jurisdiction), le traité sur la haute mer devrait entrer en vigueur au début de 2026. Il s’agit de protéger les océans au-delà des eaux territoriales des pays, soit 64 % des surfaces marines. Ce texte permettra un partage équitable des ressources biologiques prélevées en mer entre les nations, y compris celles qui n’ont pas de littoral. Des ressources qui pourraient être utilisées par exemple pour créer de nouvelles molécules pour la pharmacie, les cosmétiques ou l’industrie agroalimentaire. Mais pour entrer en vigueur, ce texte onusien déjà signé par 136 pays doit être ratifié par 60 d’entre eux. Le…

Cet article est réservé aux abonnés. Il vous reste 83% à découvrir.

Le Figaro

Vente Flash

3,99€ par mois pendant 12 mois. Sans engagement.

Déjà abonné ? Connectez-vous

Plastiques, extraction minière, pollutions sonores... Au Sommet sur l’océan, des pays s’allient en faveur de la haute mer

S'ABONNER

S'abonner