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Mais pourquoi les statues de la reine égyptienne Hatchepsout ont-elles été brisées ? Des chercheurs dévoilent une théorie surprenante !

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Dans l'au-delà, les figures représentant la reine Hatchepsout ont fait l'objet d'un acharnement étonnant. Cartouches effacés et statues brisées, autant d'éléments suscitant les interrogations des archéologues. Ces derniers ont tenté de comprendre la raison de ce vandalisme brutal durant l'Antiquité.

Qui pouvait bien en vouloir à la reine Hatchepsout, au point d'en vandaliser les effigies ? Au cours de ces 100 dernières années, les égyptologues constataient qu'une entreprise de destruction des monuments la représentant avait été mise en place après sa mort, vers 1458 avant J.-C. De son nom effacé de l'entrée de temples anciens à la démolition de statues, de nombreuses observations archéologiques appuyaient la thèse d'un effacement planifié du pharaon Hatchepsout.

Si les hypothèses allaient de bon train au cours des dernières décennies, une étude publiée dans le journal Antiquity le 24 juin semble pointer vers des indices offrant une explication plausible.

Effacer la reine Hatchepsout de l’histoire ?

Hatchepsout détient une place particulière dans l'histoire de l'Égypte, et l'histoire mondiale. Fille du pharaon Thoutmôsis Ier, elle est l'une des femmes les plus influentes de l'Antiquité, et l'une des premières à accéder à de telle fonctions. Couronnée en 1478 avant J.-C., elle continue de développer les relations commerciales de l'Égypte avec les peuples établis autour du bassin méditerranéen. Dans la périphérie de Louxor, le site de Deir el-Bahari démontre qu'Hatchepsout a apposé sa marque sur l'Égypte, en commandant la constructionconstruction de bâtiments.

C'est à Deir el-Bahari que les archéologues recouvraient des statues et des figures arborant le facièsfaciès de la reine, à partir de 1922. L'énigme commence alors. Les figures sont presque toutes « démembrées » : les blocs de pierre sont brisés au niveau du cou, des hanches et des genoux. Elles se trouvaient alors dans une cavité, baptisée le « trou d'Hatchepsout ». Des fragments de statues étaient retrouvées ailleurs à Deir el-Bahari.

La récurrence des dégradations laissait les chercheurs penser à une destruction volontaire des figures. Les aléas du temps ne pouvaient pas, seuls, provoquer de tels dégâts. En parallèle, le nom d'Hatchepsout disparaissait du fronton de certains temples.

Une vendetta dans l'au-delà

Rapidement, les archéologues pointent un potentiel coupable : le pharaon Thoutmôsis III. Le successeur de la reine souhaitait-il se venger en la faisant disparaître de la mémoire commune ? Une hypothèse défendue par une partie des égyptologues au fil des années.

Mais l'étude d'Antiquity soulève une nouvelle théorie. Les statues d'Hatchepsout auraient été rituellement « désactivées ». Le visage était systématiquement préservé, tandis que les figures étaient brisées sur des points faibles. Pour les Égyptiens dans l'Antiquité, la statue n'est pas seulement une image mais contient aussi un pouvoir spirituel, pouvant susciter la crainte.

D'autres sites en Égypte cachaient des icônesicônes cassées volontairement, « désactivées ». Le site LiveScience évoque notamment une cache exhumée à Karnak lors de fouilles archéologiques. En son sein, des centaines de statues de pharaons ayant régné à travers plusieurs siècles étaient retrouvées, dans les exactes mêmes dispositions.

Les auteurs de l'étude précisent cependant que si Thoutmôsis III n'était peut-être pas motivé par une volonté de vengeance personnelle, les persécutions de pharaons décédés survenaient occasionnellement durant l'Antiquité.

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