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DÉCRYPTAGE - Difficiles à détecter jusqu’ici, les particules de moins de 1 micron représentent une contamination plus importante, en nombre et en masse, que les débris de plus grande taille.
L’ampleur de la pollution plastique dans les océans est largement sous-estimée. Si les scientifiques mesurent aujourd’hui les déchets flottant à la surface et les microplastiques, ils ne savent quasiment rien des nanoplastiques, ces particules de diamètre inférieur à 1 micron (1 millième de millimètre). « Pour des raisons techniques, ces débris invisibles sont très difficiles à étudier dans l’environnement, relève Jean-François Ghiglione, directeur de recherche CNRS à l’Observatoire océanologique de Banyuls-sur-Mer. Seuls quelques travaux les ont détectés en milieu marin, uniquement dans les eaux côtières et en surface. »
Dans une étude publiée mercredi dans la revue Nature, des chercheurs néerlandais et suédois quantifient pour la première fois l’abondance de ces particules en plusieurs endroits de l’océan Atlantique, dans l’eau de surface comme en profondeur. À partir de leurs observations, ils estiment que les nanoplastiques constituent la part la plus importante de la pollution…