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Le député de Jonquière, Yannick Gagnon, croit que les 56 recommandations émanant du rapport final de la Commission spéciale sur les impacts des écrans et des réseaux sociaux sur la santé et le développement des jeunes sont réalisables.
L’élu caquiste souligne que les travaux de la commission ont été suivis de près par la Belgique et l’Australie.
Je pense que c’est réaliste. Il y a des choses qu’on peut faire au Québec. On le voit un peu partout dans le monde, il y a certains enjeux qui vont nécessiter une mobilisation mondiale, a-t-il mentionné en entrevue à l’émission C’est jamais pareil.
Les recommandations formulées concernent les milieux scolaires, les écoles ainsi que les familles.
Ce qu’on dit au gouvernement, c’est qu’il y a un enjeu de société à lequel on recommande une grande collaboration de la société. Bien sûr, il faut travailler en collaboration avec les familles, les parents, les grands-parents. Il faut que les parents soient des exemples, résume-t-il.
C’est un enjeu de société. Tout le monde devra mettre la main à la pâte.
Yannick Gagnon a été surpris d’entendre, lors des travaux de la commission spéciale, que les jeunes veulent passer plus de temps avec leurs parents.
Cet outil-là dans la maison vient mettre un frein à certaines activités, certains réflexes qu’on peut avoir, déplore-t-il.
Il souligne le travail d’écoles qui n’ont pas attendu les mesures du gouvernement pour limiter l’utilisation du cellulaire entre leurs murs.
M. Gagnon ressort grandi de sa première implication à une commission transpartisane. Douze membres en faisaient partie.
C’était une superbe expérience. Ça serait faux de dire que les débats ont été rapides. On a échangé, on est retourné voir nos familles politiques, voir jusqu’où on pouvait aller. Aujourd'hui, on y va de manière unanime. C’était émotif, c’était beau, confie-t-il.
Les travaux de la commission ont permis de rencontrer plus de 500 jeunes, dans une quinzaine d'écoles à travers 6 régions.