Le restaurant Le Georges mobile, qui est une division de l’institution Chez Georges, vient d’acquérir un deuxième camion-restaurant. Cet ajout à la flotte permettra à l’entreprise de mieux répondre à la demande.

C’est en 2020 que le populaire restaurant de la rue Racine à Chicoutimi a décidé de lancer ce concept de camion-restaurant. Le but est notamment d’offrir de la nourriture à la clientèle dans les événements estivaux tels que dans les festivals. La popularité de l'entreprise l'a forcée à ajouter un véhicule.

La demande était là. Avec seulement un camion-restaurant, nos disponibilités se remplissaient rapidement. Depuis le début, on veut être présent dans différents événements, mais avec les festivals, où il faut être sur place pendant plusieurs jours, on a dû refuser plusieurs demandes. Avec un deuxième camion, on va toujours avoir une option festival et une option pour les autres types d’événements, affirme le gestionnaire des opérations du Georges mobile, Félix Abraham.

Environ 50 % des disponibilités du Georges mobile pour l'été sont déjà réservées.

Félix Abraham et Simon Landry font partie du groupe de quatre associés qui s'occupe du restaurant Le Georges mobile.

Photo : Radio-Canada / Laura-Jessica Boudreault

L'entreprise souhaitait faire un ajout à sa flotte depuis plusieurs mois.

On a fait des démarches, on s’est trompé et on a recommencé. Je pense qu’après un an de travail, on est arrivé à 95 % du projet et on est prêt à opérer, souligne Félix Abraham.

En plus de leurs deux autres associés, Félix Abraham et Simon Landry auront la chance d’être épaulés par de nouveaux employés dès cet été.

On voulait de la bonne main-d’œuvre. On a formé les nouveaux de manière à ce qu’on ait la même qualité de rendement peu importe qui est dans le food truck

L’équipe envisage de diversifier son menu

Même si le menu ressemblera à celui des années antérieures, l’équipe du Georges mobile envisage de diversifier son offre de repas dans le futur.

On y pense pour cet été. On réfléchit à quel genre d’équipement pourrait nous permettre de fournir des plats plus diversifiés et de répondre aux demandes spéciales. On analyse la possibilité de créer un menu qui sort de l’ordinaire, mais il faut dire qu’on est quand même bien dans nos pantoufles. Ce qu’on a en ce moment, on sait le cuisiner de manière rapide, ce qui est important pour nous, soutient un des associés, Simon Landry.

L’entreprise n’écarte pas la possibilité de s’équiper d’un troisième camion-restaurant dans les prochaines années