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La saison des fraises aux portes de l’Abitibi-Témiscamingue

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À la ferme Nordvie, à Saint-Bruno-de-Guigues, la copropriétaire Madeleine Olivier souligne que les premières fraises ont été cueillies ce jeudi et qu’elles sont disponibles en quantité limitée à la boutique libre-service.

En raison notamment du printemps plus frais, l'autocueillette est pour sa part retardée d’une à deux semaines cette année par rapport aux années habituelles.

Madeleine Olivier, qui se réjouit de l'engouement de la clientèle, assure que l'autocueillette pourra commencer dès les premiers jours de juillet.

J’ai des clients qui m’écrivent : "quand est-ce que tu ouvres? Parce que je prends mes vacances en fonction de l’autocueillette!" On a beaucoup beaucoup de gestion de communication à faire en ce moment, beaucoup de clients qui nous posent la question ou qui appellent pour savoir quand est-ce qu’on ouvre parce qu’ils ont l’habitude qu’à ce temps-ci de l’année, on est déjà ouverts habituellement, relate-t-elle.

Madeleine Olivier pose devant le lac Témiscamingue.

La copropriétaire de la ferme Nordvie, Madeleine Olivier (Photo d'archives).

Photo : Radio-Canada / Bianca Sickini-Joly

Madeleine Olivier signale que les heures d’ouverture du champ pour l’autocueillette varient en fonction de plusieurs facteurs. Elle invite les clients à suivre les réseaux sociaux de la ferme Nordvie au cours des prochains jours.

J’ouvre lorsqu’il y a de la fraise disponible, et la disponibilité des fraises va dépendre de la vitesse de mûrissement des fruits, selon la météo, et va dépendre aussi de c’est quoi la pression de cueillette que j’ai eue les jours précédents, fait-elle remarquer.

Si j’ai eu 400 personnes dans la fraisière dans les deux derniers jours, c’est possible qu’une journée je ne puisse pas ouvrir parce que je n’ai plus de fraises mûres de disponibles et qu’il faut sauter une journée jusqu’à ce que ça remûrisse pour qu’on ait une capacité d’accueil.

De bonnes grosses fraises

Selon Madeleine Olivier, les conditions dans lesquelles ont poussé les fraises cette année permettent de croire que celles-ci seront de bonne taille et sucrées.

Des fraises dans un champ.

Madeleine Olivier s'attend à des fraises sucrées et de bonne taille cette année. (Photo d'archives)

Photo : Radio-Canada / Luc Lavigne

Cette année, on a eu une belle abondance de pluie, alors on s’attend à un beau gabarit de fraises. Il fait frais, mais ce n’est pas nécessairement le printemps frais qui fait la fraise sucrée, mais c’est plus la température au moment du mûrissement. Donc en ce moment, il fait frais et ça, ça favorise des fraises sucrées, mentionne-t-elle.

Madeleine Olivier se dit également optimiste quant à la quantité de fraises que produiront ses champs cet été.

On s’attend à une année qui ne sera peut-être pas notre année record en abondance, mais qui ne sera pas non plus une mauvaise année. On s’attend à une année dans nos moyennes normales en termes de production de fraises, conclut-elle.

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