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La filière phosphate, une « opportunité » pour la région, selon le Bloc québécois

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Le chef du Bloc québécois, Yves-François Blanchet, croit que le développement de la filière phosphate représente une « opportunité économique » pour le Saguenay–Lac-Saint-Jean.

Le chef du parti et ses députés de Jonquière et de Lac-Saint-Jean ont tenu un point de presse mercredi à l’Hôtel Chicoutimi.

Pour le Bloc québécois, le contexte énergétique actuel et l’environnement géopolitique favorisent l’ajout du phosphate à la liste des matériaux critiques. Ce choix pourrait entraîner l’essor de cette industrie au Saguenay–Lac-Saint-Jean, selon le chef du parti.

Mario Simard, Yves-François Blanchet et Alexis Brunelle-Duceppe.

Les deux députés et leur chef étaient réunis mercredi à l'Hôtel Chicoutimi.

Photo : Radio-Canada / Steeven Tremblay

Yves-François Blanchet rappelle que le phosphate joue un rôle clé dans la production de batteries, une autre raison qui pourrait justifier sa désignation comme matériau critique.

Moi, je regarde ça de tous les bords et de tous les sens et je n’y vois que des avantages, précise le chef bloquiste.

Interrogé sur les retombées économiques potentielles pour la région, le Bloc affirme que le secteur de la phosphate pourrait générer 1000 emplois directs et 10 000 emplois indirects au Saguenay–Lac-Saint-Jean.

Yves-François Blanchet, Mario Simard et Alexis Brunelle-Duceppe.

Le député de Jonquière, Mario Simard, ainsi que le député de Lac-Saint-Jean, Alexis Brunelle-Duceppe, étaient présents lors du point de presse.

Photo : Radio-Canada / Jasmin Maltais

Aux yeux de ce parti qui compte 22 députés, la filière pourrait devenir une véritable fierté pour la région d’ici 2029.

Pas seulement les téléphones

Les secteurs militaire et automobile comptent aussi parmi les grands consommateurs de phosphate.

Mercredi, le premier ministre Mark Carney a rencontré des représentants de l’industrie automobile. Ils lui ont demandé de revoir à la baisse la cible voulant que, dès 2026, 20 % des véhicules neufs vendus au Canada soient électriques.

Une voiture se trouve sur une chaîne d'assemblage.

La carrosserie d'une voiture en cours d'assemblage dans une usine. (Photo d'archives)

Photo : Reuters / CARLOS OSORIO

Pour le chef bloquiste, ce serait une erreur de faire marche arrière.

On est en mesure d’être des meneurs significatifs et des leaders dans une filière économique, qui est celle de l’électrification des transports, a indiqué M. Blanchet.

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