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Grève au RTC : les négociations reprennent mardi

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Bien qu’il n’ait pas l’intention de fléchir, le maire de Québec estime qu’il est toujours possible pour le Réseau de transport de la capitale (RTC) de s’entendre rapidement avec les employés d’entretien pour mettre fin à la grève qui paralyse le transport en commun depuis vendredi.

À la demande du conciliateur, les deux parties, qui n’ont pas négocié pendant la fin de semaine, doivent reprendre les discussions mardi. Le Syndicat des salarié(e)s d'entretien du RTC avançait vendredi qu’il ne s’attendait plus à obtenir des augmentations salariales de 30 % sur 5 ans, un des principaux points en litige.

Ils ont parlé de 18 % à 22 %. […] À 18 % c'est assez facile de s'entendre. S'il suffit juste de ça et de quelques autres clauses où on gagne de l'agilité, c'est possible de s'entendre rapidement, avance Bruno Marchand. On ne donnera pas plus aux mécanos qu'on a donné aux chauffeurs.

Je me suis battu pendant quatre ans pour avoir la moins grosse croissance de taxes de toutes les villes du Québec, à baisser la dette, à respecter la capacité de payer des citoyens. C'est pas vrai que je vais l'échapper à la fin.

Bruno Marchand avance aussi que la grève en plein Festival d’été de Québec n’est pas à l’avantage du syndicat. Présentement, la population est fâchée de voir qu'on la prend en otage. Pour moi, c'est une prise d'otage qui est inacceptable.

Dans l’ensemble, le maire estime toutefois que l’absence de transport pour trois soirs de fort achalandage sur les plaines d’Abraham n’a pas été la catastrophe.

Somme toute, dans ces conditions-là, ça s'est relativement bien passé, a commenté Bruno Marchand en après-midi lundi.

Le maire rejette le plan B de Sam Hamad

Samedi matin, après un premier 24 h sans transport en commun, le candidat à la mairie Sam Hamad a reproché à l’administration Marchand de ne pas s’être doté d’un vrai plan B alors que la date du débrayage pendant le Festival d’été avait été annoncée une semaine d’avance.

Le chef de Leadership Québec avance qu’il aurait été possible de collaborer avec le FEQ si l’organisation avait souhaité déployer un service de navette. Sam Hamad avance aussi que la Ville aurait dû négocier pour permettre le stationnement sur les Plaines d’Abraham et dans les espaces des grandes entreprises.

Bruno Marchand rétorque que le FEQ avait déjà statué que la mise en place de navettes serait trop coûteuse. Selon le maire, il aurait aussi été hasardeux de contribuer à un service de transport en commun pendant le débrayage.

C’est compliqué, parce que comment ce serait pas pris pour des briseurs de grève? […] On doit respecter les lois en place, explique-t-il.

Quant aux enjeux de stationnements, Bruno Marchand affirme que plusieurs entreprises rendent déjà leurs espaces disponibles en soirée, mais il est hors de question de laisser entrer les voitures sur les Plaines.

Stationner sur les Plaines c’est une mauvaise idée. […] Mettre des gens sur l’anneau des Plaines, les espaces de verdure des Plaines, ce serait un saccage terrible.

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