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Le 25 mai 2020, la mort par asphyxie de George Floyd, après qu'un policier de Minneapolis lui ait pressé le genou sur son cou, a fait des vagues partout au monde.
Plus de cinq ans plus tard, ce bouleversement a donné une nouvelle ampleur au mouvement Black Lives Matter Black Lives Matter(BLM) dont le chapitre de Sudbury a vu le jour par la suite, vers la fin du printemps 2020.
Selon la professeure en sociologie et criminologie à l’Université Laurentienne, Inès Bouguerra, ce moment historique a suscité la volonté de la communauté de comprendre la discrimination et le racisme dans la ville du Grand Sudbury.
Il y a aussi des groupes de travail qui ont été créés, afin de trouver et d’identifier des solutions pour entre guillemets, mettre fin à ce fléau, souligne celle qui est également agente de développement socioéconomique du Réseau du Nord.
Mme Bouguerra indique aussi que les discriminations raciales sont encore présentes dans plusieurs secteurs dans la ville du nickel. Une étude du Réseau du Nord souligne d’ailleurs qu’il existe une forme de protectionnisme identitaire chez les Franco-Ontariens.
Selon Gouled Hassan, le décès de monsieur Floyd a déclenché une prise de conscience globale. Le coordonnateur du Contact infetrculturel francophone de Sudbury estime que dans le Nord de l’Ontario, le public a eu davantage de discussions sur le racisme systémique et institutionnel, ainsi que l’inclusion dans le système scolaire.
Il y a eu des changements qu’on peut voir avec certaines personnes, qui ont été plus conscientes et conscientisées de cette réalité-là, indique-t-il.
Au micro d’Elsie Miclisse au Matin du Nord, les deux intervenants ont noté que lutter contre le racisme demande des efforts collectifs et harmonieux. M. Hassan s’inquiète beaucoup du retour des discours haineux, notamment des États-Unis.