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Faciliter la cohabitation intergénérationnelle de type familiale

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Trouver à se loger en vieillissant est une des principales préoccupations des aînés du Bas-Saint-Laurent. Alors qu’une majorité souhaite vieillir dans leur maison, la cohabitation intergénérationnelle de type familial peut être une solution, mais plusieurs défis se dressent devant ceux qui optent pour cette option.

Une soixantaine d'aînés, d'élus et d'organismes du Bas-Saint-Laurent se sont réunis mardi à Cacouna pour une journée de concertation sur la cohabitation intergénérationnelle de type familiale organisée par la Table de concertation des aînés du Bas-Saint-Laurent (TCABSL).

Pour sa coordonnatrice, Valérie Belleau-Arsenault, bien que ce ne soit pas une solution miracle ni adaptée à tous les aînés, elle gagne à être mieux connue.

Il y aura un manque de place en RPA, on essaie aussi de trouver des manières de se loger différentes, tout en étant proche de sa famille, en restant dans sa communauté.

Dans le contexte de pénurie de logements, elle estime que les municipalités ont aussi tout intérêt à ce que plus de personnes habitent dans les maisons. Ça pourrait faire partie des pistes de solutions.

Valérie Belleau-Arsenault

La coordonnatrice de la Table de concertation des aînés du Bas-Saint-Laurent, Valérie Belleau-Arsenault, estime que le nombre de participants démontre l'importance de l'enjeu du logement pour les aînés dans la région.

Photo : Radio-Canada / Veronique Duval

Mme Belleau-Arsenault mentionne que les discussions de mardi font ressortir que la cohabitation intergénérationnelle familiale est parfois difficile à mettre en place, en raison des réglementations notamment municipales.

Il faut se questionner : C'est quoi notre réglementation à nous? Ce matin il y a même eu une discussion : Est-ce qu'on veut bigénérationnel, donc juste un parent, un enfant ou est-ce qu'on ne peut pas élargir pour un cousin? Jusqu’où veut-on élargir la réglementation?, rapporte la coordonnatrice de la TCABSL.

L'importance d'en parler quand tout va bien

Danielle Gagné, vice-présidente, vit avec son mari et son fils de 44 ans depuis un an, dans sa maison qu’elle a transformée en bigénérationnelle.

Danielle Gagné

Danielle Gagné, vice-présidente de la Table de concertation des aînés du Bas-Saint-Laurent témoigne avoir abordé la question avec ses trois enfants quand elle a vu son conjoint avoir de plus en plus de difficulté à entretenir la pelouse de leur résidence.

Photo : Radio-Canada / Veronique Duval

Même si la cohabitation amène certains défis, elle ne ferait pas marche arrière. J'en fais un cheval de bataille. Je trouve que les maisons intergénérationnelles, il faut que ça revienne parce que c'est important et il ne faut pas attendre la perte d'autonomie avant d'aborder le sujet de la cohabitation avec sa famille, estime-t-elle.

On n’en parle pas et quand ça commence à aller mal, il est trop tard.

Un rapport avec des pistes de solutions et les meilleures pratiques de cohabitation intergénérationnelle de la région sera remis à la ministre responsable des Aînés, Sonia Bélanger, et à chacune des municipalités du Bas-Saint-Laurent à la suite de cette journée.

Le but, c'est de diminuer les barrières et de faire un premier pas vers une ouverture pour faciliter ce mode d’habitation, explique Valérie Belleau-Arsenault.

Un quart de la population du Bas-Saint-Laurent a plus de 65 ans, ce qui la classe en deuxième position provinciale après la Gaspésie-Îles-de-la-Madeleine.

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