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Le monde de la Formule 1, mis à l'honneur dans le dernier film de Brad Pitt, doit beaucoup aux ingénieurs et aux scientifiques, toujours à la recherche d'innovation pour grappiller la moindre seconde au chrono.
Une voiturevoiture rapide, sûre, solide, mais aussi extrêmement classe ! Voici les impératifs au moment de designer une voiture de Formule 1. Et si l'héroïsme du pilote, comme celui qu'incarne Brad Pitt dans F1, a un rôle prépondérant, il ne faut pas oublier une autre dimension : les scientifiques et ingénieurs, nombreux à vouloir aller toujours plus loin dans la recherche de performance.
La traînée et l'appui
Depuis les années 1950, l'apparence de ces voitures de course a extrêmement évolué. En grande partie pour des questions liées à la recherche d'aérodynamisme. Le design fuselé vise à générer le moins possible de résistancerésistance à l'air, ou traînée, mais tout en forçant la voiture à bien rester sur la route pour faciliter la stabilité et donc la sécurité du pilote. Un travail d'orfèvre dans lequel il faut réduire l'adhérence en ligne droite, mais augmenter l'appui dans les virages. Ce sont les ailerons qui jouent ce rôle d'appui : l'air qui circule dessous va plus vite que celui du dessus ce qui, en vertu de l'équation de Bernoulli, crée une différence de pression et a pour effet de « plaquer » la voiture au sol.
C'est aussi pour cela que les voitures de Formule 1 sont aussi proches du sol. Ainsi, l'appui généré est plus important, ce qui les autorise à rouler extrêmement vite avec le moins de résistance à l'air possible, et ce sans être déstabilisées.
Cette configuration a pour conséquence que chaque voiture va être plus adaptée pour l'appui ou la traînée. Celles qui gagnent en appui seront plus performantes sur les circuits possédant de nombreux virages. Les autres arriveront en tête dans les circuits à lignes droites.
Des voitures plus lourdes et plus sûres
On pourrait croire qu'à force de recherches, les ingénieurs ont créé des voitures de plus en plus légères, qui seraient plus rapides. Mais ce n'est pas le cas. Au contraire, les réglementations imposent un poids minimal qui ne cesse d'augmenter. De 605 kilos, pilote compris en 2007, il est passé à 800 kilos depuis 2025. Cela s'explique par l'ajout de nouveaux systèmes de sécurité, mais aussi de pneuspneus plus performants, conçus pour ne pas trop chauffer. Sans oublier les moteurs hybrides en partie électriques désormais.
En 2026, le législateur a imposé cette fois une baisse de 32 kilos suite à des plaintes de pilotes et de fédérations, qui jugeaient les voitures trop pataudes et moins spectaculaires, mais aussi finalement plus dangereuses si elles étaient projetées lors d'un accidentaccident.
Malgré tout, en dehors des pneus et du moteur, les Formule 1 sont en grande partie construites à base de fibres de carbone, conçues pour être à la fois solides et légères.
Enfin, la science de la Formule 1 se fait aussi au travers des données collectées. Les capteurscapteurs autour de la voiture sont désormais de plus en plus performants. Température, pression des pneus, capacité du moteur, etc. Tout cela est transmis en temps réel au pilote afin de lui permettre de prendre les meilleures décisions possibles. Parfois, relâcher l'accélérateur une seconde plus tôt ou plus tard peut avoir d'importantes conséquences, et toutes ces données peuvent l'aider. Car oui, malgré toute cette technologie à son service, le pilote humain reste bel et bien un élément central dans cette machinerie.