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Eric Robitaille s’est entretenu avec deux finissantes du secondaire à Thunder Bay qui vont poursuivre leurs études en français.
Charlotte Pye et Chloé Winn sont des élèves à l’école secondaire catholique de La Vérendrye.
Ma mère vient du Québec et mes parents se sont rencontrés à l’université. Ils sont venus à Thunder Bay parce qu’il y avait beaucoup d’emplois ici, souligne Chloé Winn pour expliquer d’où lui vient sa culture francophone.
« J’ai appris le français à la maison. »
Elle avoue qu’en dehors de la maison il n’y a pas beaucoup d’occasions de parler en français.
Toutefois, pour Chloé Winn, c’est une langue qui représente beaucoup de possibilités de carrières et de relations avec d’autres personnes francophones.
Cette jeune femme a choisi de poursuivre des études postsecondaires en français dans la ville d’Ottawa.
Je voulais être capable de parler français et anglais avec des patients si je veux être docteur, déclare-t-elle.
Pour sa part, Charlotte Pye explique que ses parents viennent de deux petites villes francophones.
C’est comme ça que j’ai commencé à parler en français. Ma mère me parlait quand j’étais petite. On lisait des livres en français ensemble, se souvient-elle.
Elle ajoute que cette langue lui a permis de rencontrer de nouvelles personnes à l’extérieur de sa communauté.
La jeune femme ira faire ses études postsecondaires en français à Sudbury.
Elle veut devenir orthophoniste.
C’était vraiment juste le programme qui m’intéressait, souligne-t-elle.