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Des élèves plongent dans l’univers judiciaire grâce à une simulation de procès

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Des jeunes de l'ÉcolACtion ont quitté la cour d'école pour se rendre à la Cour en participant à une simulation de procès au palais de justice de Chicoutimi, jeudi. Une expérience qui leur a permis de mieux comprendre les rouages du système de justice et de prendre conscience de la portée de leurs gestes.

Le programme La Cour d'école est offert aux élèves de la cinquième année par les procureurs de la Direction des poursuites criminelles et pénales (DPCP).

Le procureur du DPCP, Me Pier-Alain Lalancette, explique que cette simulation de procès est le point culminant de 15 séances de sensibilisation menées par des procureurs de la Couronne.

Tant pour l'intimidation, la discrimination, la sécurité sur les réseaux sociaux que sur internet en général, [...] on aborde une variété de sujets, a-t-il affirmé.

une petite fille de dos

Les jeunes ont pu jouer les rôles de tous les intervenants impliqués dans un procès, des constables spéciaux aux avocats.

Photo : Radio-Canada / Claude Desbiens

Dans le scénario proposé, un jeune était accusé de port d'arme dans un dessein dangereux et de port d'une arme dissimulée.

Les apprentis avocats ont revêtu leurs toges, le public a fait son entrée et des témoins sont venus à la barre expliquer leur version des faits.

Tous les rôles joués par des élèves

La jeune Élizabeth Lévesque a joué le rôle d’une constable spéciale et a apprécié l’activité.

C'est vraiment une belle expérience de voir, premièrement, une salle de cour, a-t-elle lancé.

Sa camarade de classe, Léa-Maude Côté, en a beaucoup appris sur le métier de procureur.

Au début, je ne savais vraiment pas c'était quoi un procureur aux poursuites criminelles et pénales. J'ai aussi découvert que j'aimerais être procureure de la Couronne, a expliqué celle qui tenait le rôle de greffière lors de la simulation.

un petit garçon de dos

Une expérience qui leur permet de mieux comprendre le système de justice et de prendre conscience de la portée de leurs gestes.

Photo : Radio-Canada / Claude Desbiens

L’enseignante de cinquième année à l’ÉcolACtion, Stéphanie Bouchard, a souligné que l’activité vise aussi à faire comprendre aux jeunes qu'à partir de 12 ans, ils peuvent être tenus responsables de leurs gestes criminels.

[Ils gagnent] beaucoup de connaissances sur le système juridique. Sur ce qui leur pend au bout du nez s'ils font des méfaits, s'ils font des mauvais choix dans la vie.

L’an prochain, le programme La Cour d'école du DPCP ne sera offert qu'en milieu autochtone. Pendant cette pause, les ateliers seront révisés pour revenir avec une nouvelle formule.

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