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Demandes d’asile : le ministre Roberge presse Ottawa de resserrer la délivrance des visas

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Face à la hausse des demandes d’asile de la part d'étudiants étrangers, le ministre québécois de l’Immigration, Jean-François Roberge, presse Ottawa de « resserrer » le processus entourant la délivrance des visas.

En effet, selon les données obtenues auprès d’Immigration, Réfugiés et Citoyenneté Canada (IRCC), 2350 étudiants étrangers ont demandé l’asile au Québec au cours des quatre premiers mois de l’année.

L’augmentation du nombre de demandeurs d’asile continue d’ajouter de la pression sur nos finances et nos services publics. [...] De son côté, le gouvernement fédéral doit agir de toute urgence pour resserrer l’émission des visas afin d’empêcher les gens d’arriver au Québec sous de faux prétextes, peut-on lire dans une déclaration écrite du cabinet du ministre Roberge.

Le cabinet assure toutefois que le projet de loi 74 qui vise à encadrer le nombre d’étudiants étrangers entrera en vigueur dès la rentrée scolaire en septembre. Il ajoute que le gouvernement rehaussera bientôt « le montant des garanties financières exigées de la part des étudiants étrangers ».

De son côté, le député libéral et porte-parole en matière d’immigration, André Morin, croit que de revoir à la hausse le montant lié à l’admission des étudiants, comme le promet le ministre Roberge, pourrait améliorer la situation.

Encore là, j'espère que le gouvernement veille au grain là-dessus, mais effectivement ce sont des mesures qui peuvent être mises en place et on va s'assurer que les étudiants vont venir ici pour les bonnes raisons, souligne-t-il.

Un projet de loi d'Ottawa

Dans un communiqué publié mardi, le ministère fédéral de l'Immigration, des Réfugiés et de la Citoyenneté a quant a lui souligné le dépôt du projet de loi C-2, qui modifie notamment le processus de demande d'asile.

Si ce projet de loi est adopté, les demandes d'asile déposées plus d'un an après qu'un potentiel réfugié a mis les pieds au Canada seront jugées inadmissibles.

Cette règle s’appliquerait à toute personne, y compris les étudiants et les résidents temporaires, qu’elle ait quitté le pays et y soit revenue ou non, indique le ministère dans un communiqué.

Le délai pour traiter les demandes d'asile est actuellement de plusieurs années. Au Canada, plus de 280 000 demandes n'ont toujours pas été réglées, d’après la Commission de l’immigration et du statut de réfugié du Canada.

Le ministère fédéral de l'Immigration n'a pas répondu à la demande d'entrevue de Radio-Canada.

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