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Le procès du sergent d'état-major Ken Price, accusé de quatre chefs d'agression sexuelle, commence lundi à Windsor, en Ontario.
La présumée victime est une employée de la police de Windsor, dont l'identité est protégée par un interdit de publication.
Elle a également porté plainte, au début de l'an dernier, devant le Tribunal des droits de la personne de l'Ontario (TDPO) dans cette affaire. Les démarches sont toujours en cours.
Les faits allégués se seraient déroulés entre 2011 et 2021, selon des documents du TDPO. Un policier et un sergent d'état-major auraient été témoins des événements, d'après la plaignante.
Avertissement : des descriptions contenues dans ce texte pourraient choquer certains lecteurs.

Les accusations ont été portées en janvier 2024.
Photo : Radio-Canada / Nicolas Pham
Elle explique qu’en 2012, M. Price l'aurait poussée sur un canapé au travail, se serait étendu sur elle et se serait frotté contre elle à travers ses vêtements.
Je pouvais sentir ce qui semblait être son [pénis], peut-on lire dans les allégations.
Dans la plainte du TDPO, elle déclare qu’elle pouvait à peine se défendre. Je me sentais paralysée. J'étais comme en état de choc. Je me sentais engourdie, comme si je voulais crier, mais je ne pouvais pas, raconte-t-elle.
Dans une déclaration précédente à CBC, l'avocat de Ken Price a déclaré que son client nie absolument tout acte répréhensible.
Les documents du TDPO remettent en question la date à laquelle la police de Windsor a découvert ces allégations.
Lorsque M. Price a été accusé en janvier 2024, la police de Windsor a déclaré dans un communiqué de presse qu'elle s'était immédiatement occupée de la situation lorsqu'elle avait pris connaissance des allégations.
Toutefois, la plaignante a affirmé dans sa plainte auprès du TDPO que plusieurs employés avaient été témoins ou avaient été informés des faits allégués des années avant que le service ne dise avoir découvert l'affaire.
Avec les informations de Jason Viau de CBC