Language

         

 Publicité par Adpathway

« Ce sont les travailleurs étrangers temporaires qui les empêchent de dormir la nuit »

1 month_ago 35

         

NE LAISSER PAS LE 5G DETRUIRE VOTRE ADN Protéger toute votre famille avec les appareils Quantiques Orgo-Life®

  Publicité par Adpathway

L’Alliance des chambres de commerce de Chaudière-Appalaches (ACCCA), dont fait partie la Chambre de commerce de Kamouraska-L’Islet, demande une écoute attentive et immédiate des gouvernements fédéral et provincial, car selon elle, l’économie locale et régionale est à risque.

Les tarifs, c'est pratiquement le dernier des soucis de nos entrepreneurs. Ce sont vraiment les travailleurs étrangers temporaires qui les empêchent de dormir la nuit. Certains ont dit lors d’une rencontre avec la ministre [Christine] Fréchette : "Si je perds mes travailleurs étrangers temporaires, je ferme", explique la directrice de la Chambre de commerce Kamouraska-L’Islet et présidente de l’ACCCA, Nancy Dubé.

Depuis février, la Fédération des chambres de commerce du Québec (FFCQ) exige un moratoire sur les restrictions imposées au Programme des travailleurs étrangers temporaires (PTET).

L’ACCCA demande aussi le retour du quota de 20 % pour les travailleurs étrangers temporaires à bas salaire pour Chaudière-Appalaches. Nancy Dubé indique que la réalité est la même au Bas-Saint-Laurent.

Une dame souriant pour la photographie

Nancy Dubé, directrice générale de la Chambre de commerce Kamouraska-L’Islet

Photo : Radio-Canada / Fabienne Tercaefs

Elle dénonce le manque d'écoute de Québec et d'Ottawa pour les réalités régionales.

C'est pour ça que nous, on refrappe sur ce clou-là : moratoire, ne bougez rien. Vous voulez changer les taux d'immigration de l'extérieur vers l'intérieur, c'est correct, mais laissez au moins ceux qui sont en place chez nous.

Mme Dubé rapporte que les travailleurs québécois qualifiés sont rares et ne veulent pas des horaires de soir et de nuit.

Ce n'est pas vrai que les Québécois vont de facto remplacer nos travailleurs étrangers. Ça, c'est vraiment de ne pas être connecté à la réalité et sur le plancher de nos usines. Ils ne veulent pas de ces jobs-là, les Québécois, témoigne-t-elle.

Et même s’ils voulaient de ces jobs-là, il n’y a pas beaucoup de gens au chômage et on est presque au plein emploi en région.

Avec un taux de chômage de 3,4 % en mai, Chaudière-Appalaches se classe parmi les plus bas taux de chômage au pays. Au Bas-Saint-Laurent, le taux de chômage était à 5 % pour le mois dernier.

read-entire-article

         

        

NE LAISSER PAS LE 5G DETRUIRE VOTRE ADN  

Protéger toute votre famille avec les appareils Quantiques Orgo-Life®

  Publicité par Adpathway