NE LAISSER PAS LE 5G DETRUIRE VOTRE ADN Protéger toute votre famille avec les appareils Quantiques Orgo-Life® Publicité par Adpathway
L’humoriste et acteur était invité à la table de Mohamed Bouhafsi dans «C à vous» ce samedi 11 octobre à l’occasion de son retour avec un seul en scène intitulé Clown n’est pas un métier.
Les rumeurs sur les réseaux sociaux ont la peau dure. Le 5 mai dernier, Dany Boon a été victime d’un accident de voiture sur l’autoroute A4. Et alors qu’il se remettait du choc sans grande gravité pour sa santé, l’humoriste a été prêté pour mort par les réseaux sociaux.
« Je viens malheureusement d’apprendre... ma mort. Que dire, sinon que c’est toujours les meilleurs qui partent les premiers. (Il soupire) J’ai du mal à l’accepter. C’était très soudain comme très souvent les décès», a-t-il réagi ironiquement dans une vidéo postée sur son compte Instagram alors même que la rumeur circulait.
À lire aussi «Je vais avoir des problèmes avec Batman» : la rencontre insolite de Dany Boon avec Christian Bale
«C’était compliqué pour ma famille»
Cinq mois plus tard, invité de «C à vous» à l’occasion de son retour sur les planches avec un nouveau one-man-show Clown n’est pas un métier, Dany Boon est revenu sur les impacts de telles rumeurs sur sa vie. «Ça ne m’a pas blessé mais après tout le monde m’a appelé. Effectivement, j’ai eu un accident de voiture assez important, je suis sorti de l’autoroute la voiture était détruite», a-t-il expliqué tout en ironisant sur le changement de comportement des personnes (fans) dès lors qu’ils le reconnaissaient. «D’un seul coup, l’accident, tout le monde s’en fout.»
L’humoriste avait immédiatement anticipé le risque de rumeurs en informant ses proches directement après l’accident. «Mon angoisse était que ça sorte évidemment. Donc les gendarmes et les pompiers ont été formidables», a souligné Dany Boon alors qu’il souhaitait être discret. «Ils m’ont mis une charlotte sur la tête et un masque pour aller à l’hôpital, il fallait que je fasse des examens», s’est-il remémoré avec le sourire. Malgré ces précautions, l’information a tout de même fini par circuler. «Et heureusement j’avais prévenu ma mère. Mais le problème ce sont les proches qui appellent pour dire : “Oh mon dieu, ton fils... C’est quand l’enterrement ?” C’était compliqué pour ma famille», a-t-il déploré. Et de poursuivre sur une note bien plus légère, teintée de second degré : «C’est pour ça que j’ai fait la vidéo. Et puis surtout j’avais peur du prélèvement d’organes parce que je suis donneur moi. J’avais peur qu’on me les prélève alors que je suis encore vivant.»