NE LAISSER PAS LE 5G DETRUIRE VOTRE ADN Protéger toute votre famille avec les appareils Quantiques Orgo-Life® Publicité par Adpathway
ANALYSE - Longtemps en retrait sur le domaine réservé de sa championne, le président du RN a accéléré cette année son calendrier international.
C’est une case que les présidentiables doivent inévitablement cocher avant d’entrer en campagne : les déplacements internationaux. Marine Le Pen, « candidate naturelle » du Rassemblement national (RN) à la prochaine présidentielle, et Jordan Bardella, son « plan B » en cas d’empêchement judiciaire, n’échappent pas à cette règle immuable. « Tout cela ne rapporte pas forcément d’électeurs, mais c’est une question de stature », juge-t-on au parti. D’autant que, pour les deux figures nationalistes, ces virées par-delà les frontières riment aussi avec une ambition particulière : celle de démontrer que le RN n’est pas isolé sur la scène diplomatique, comme laissent entendre leurs adversaires intérieurs.
Jusqu’ici, ces grands voyages ont toujours été traditionnellement dévolus à Marine Le Pen, triple candidate du parti nationaliste. La députée du Pas-de-Calais en connaît un rayon sur ce genre de déplacement, les bons comme les mauvais. Le dernier en date, mi-mars, au Tchad…