NE LAISSER PAS LE 5G DETRUIRE VOTRE ADN Protéger toute votre famille avec les appareils Quantiques Orgo-Life® Publicité par Adpathway
Enfin une bonne nouvelle dans le domaine de l’environnement : le trou dans la couche d’ozone devrait se reconstituer complètement d’ici 2050, c’est l’Organisation Météorologique Mondiale qui l’assure !
Dans son dernier communiqué publié le 16 septembre 2025, l'OMM, un organisme des Nations unies, affirme que sur une grande partie du Globe, la couverture totale d'ozoneozone stratosphérique était meilleure en 2024 que les années précédentes. « En 2024, le trou dans la couche d’ozone au-dessus de l'Antarctique - qui se forme chaque printemps - a présenté une profondeur inférieure à la moyenne de la période 1990-2020, avec une déperdition maximale d'ozone de 46,1 millions de tonnes le 29 septembre. Il est donc plus petit que les trous relativement importants relevés entre 2020 et 2023 ». En 2024, « l'apparition du trou dans la couche d'ozone au-dessus de l'Antarctique a été relativement lente ». Cela est très positif : « cette apparition tardive qui devient habituelle est un signal fort du début de reconstitution de la couche d'ozone au-dessus de l’Antarctique » indiquent les auteurs du bulletin.
Son ouverture, et sa fermeture, sont directement liées aux choix humains
La formation du trou, comme son rétablissement, n'ont rien de naturel : les actions humaines sont au cœur du processus. C'est bien l'utilisation massive de certains produits chimiques (destinés aux laques pour cheveux, ou encore aux moussesmousses anti-incendie), puis leur interdiction, qui a provoqué cette ouverture, puis cette fermeture progressive. Les scientifiques ont commencé à alerter sur le danger en 1975, et il a fallu quelques années avant que le monde politique ne prenne au sérieux ce problème.
Ce 16 septembre marque le 40e anniversaire de la Convention de Vienne, « dont les signataires, en reconnaissant que la diminution de l'ozone stratosphérique constituait un problème mondial, ont fourni un cadre de mobilisation de la coopération internationale en matièrematière de recherche sur l'ozone, d'observations systématiques et d'évaluations scientifiques dans ce domaine ». Selon le Secrétaire général de l'ONU, M. António Guterres, « la Convention de Vienne et son Protocole de Montréal sont devenus un succès multilatéral de référence. Aujourd'hui, la couche d'ozone est en voie de rétablissement. Cette réussite nous rappelle que lorsque les nations tiennent compte des avertissements de la science, des progrès sont possibles » précise-t-il en rapport avec un autre combat, celui du réchauffement climatique.
Moins de cancers de la peau en prévision, et moins de réchauffement
Le Protocole de Montréal a permis d'éliminer plus de 99 % de la production et de la consommation de substances qui appauvrissaient la couche d'ozone. « Par conséquent, la couche d'ozone devrait retrouver ses niveaux des années 1980 d'ici au milieu de ce siècle, ce qui réduira considérablement les risques de cancer de la peau, de cataractecataracte et de dégradation des écosystèmes dus à une exposition excessive aux rayons ultravioletsultraviolets (UV) ».
Grâce à ce rétablissement total de la couche d'ozone, la Planète évitera également un réchauffement supplémentaire de 0,3°C à 0,5°C d'ici 2100.
L'évolution du trou en 2025 reste tout de même sous surveillance
Sans remettre en cause les prévisions globales de guérisonguérison pour 2050, de son côté, Copernicus ECMWF estime que la formation cyclique du trou en 2025 est à nouveau remarquable, comme en 2023 : en ce début de printemps (les saisons étant inversées dans l'hémisphère sudhémisphère sud), le trou dans la couche d'ozone au-dessus de l'Antarctique est le plus grand enregistré mi-septembre depuis le début des relevés.
Ces variations d'une année sur l'autre sont liées aux grands phénomènes climatiques (comme le cycle ENSO), mais aussi aux éruptions volcaniqueséruptions volcaniques. La tendance globale reste tout de même à la fermeture à long terme.