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Les abus subis pendant l’enfance laissent des traces durables, bien au-delà des séquelles psychologiques. Une étude révèle que ces traumatismes modifient chimiquement l’ADN, affectant parfois jusqu’à trois générations.

Les gènes marqués par la souffrance
Les chercheurs ont identifié des modifications épigénétiques – des « marques » sur l’ADN – chez les victimes de maltraitance. Ces altérations, liées à un gène régulant le stress, sont particulièrement prononcées chez les descendants directs, y compris ceux n’ayant jamais subi de violences. Une étude sur des souris a confirmé ce mécanisme : le stress précoce modifie les spermatozoïdes, transmettant troubles anxieux et comportementaux aux générations suivantes.
Une lueur d’espoir : effacer les stigmates du passé
Si ces marques semblent permanentes, elles ne sont pas irréversibles. Médicaments et thérapies pourraient « réparer » l’ADN, offrant une voie de guérison biologique en plus du traitement psychologique. Une découverte qui souligne l’urgence de prendre en charge les victimes… avant que leur souffrance ne devienne un héritage familial.
par Yoann
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