1.300 personnes se sont réunies mardi soir au Casino de Paris pour la première édition du Sommet des Libertés. Un sommet inédit qui avait pour but de réunir intellectuels de droite et responsables politiques pour parler du fond, loin des clivages entre partis.

La première édition du Sommet des Libertés s'est tenue mardi soir au Casino de Paris devant une salle comble. Les députés du Rassemblement national, Reconquête ou Républicains se croisent près des tables de dédicaces. Une occasion, selon Jordan Bardella, de proposer son programme de rupture à l’électorat de droite. "On est plus véritablement dans une démarche de parti, on est en train de construire une alternance politique avec tous les amoureux de la France. L’idée c’est d’appeler tout le monde à faire un bout de chemin ensemble", a-t-il déclaré.

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Éric Ciotti et Sarah Knafo appelle à l'union des droites

Un peu plus loin, le chef de file des députés UDR Éric Ciotti, appelle de ses vœux à un ralliement des partis présents. "Cette brèche que j’ai ouvert l’année dernière en étant président des Républicains, elle ne se refermera pas. C’est un chemin, un chemin vers la victoire ! Seule l’union des droites peut nous conduire à la victoire", a-t-il lancé.

Même son de cloche du côté de Reconquête, incarnée par l’eurodéputée Sarah Knafo. "Comme vous le savez, chez Reconquête, on a toujours été partisans de cette union. Je pense que ce soir c’est la bonne manière de montrer qu’il y a un bloc de droite, qu’on se reconnaît à droite, pour préparer les victoires de demain", a-t-elle affirmé.

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1.300 personnes présentes

Tandis que Marion Maréchal note la présence d’élus Républicains, qui marque, selon elle, les prémisses d’une coalition possible. "On n’a pas encore atteint l’objectif final, même si petit à petit on crante des choses. Aujourd’hui il y a quand même une convergence idéologique objectivement majeure", s'est-elle réjouie.

Loin des affrontements dans l’hémicycle de l’Assemblée, l’ambiance était donc à la confrontation des idées et aux échanges cordiaux, sous les applaudissements nourris des 1.300 personnes présentes.

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