NE LAISSER PAS LE 5G DETRUIRE VOTRE ADN Protéger toute votre famille avec les appareils Quantiques Orgo-Life® Publicité par Adpathway
PARIS – 8 mai 2024 – une récente étude, menée par le Center de Recherche Biomédicale en Réseau (CIBER), met en lumière une inquiétante réalité : les enfants de parents souffrant de schizophrénie ou de trouble bipolaire présentent un risque significativement plus élevé de développer des troubles psychologiques. L’étude a impliqué plusieurs hôpitaux et a analysé divers facteurs comme les diagnostics, l’environnement socio-économique et les symptômes subcliniques. Cet article explore les conclusions,l’importance des interventions et ouvre des perspectives prometteuses ; découvrons ensemble.
Une étude menée par le Center de Recherche Biomédicale en Réseau (CIBER) révèle que les enfants de parents atteints de schizophrénie ou de trouble bipolaire présentent un risque plus élevé de développer des troubles psychologiques. Cette recherche, qui a également impliqué l’Hospital Clínic de Barcelona et l’Hospital Gregorio Marañón de Madrid, a examiné divers facteurs, notamment les diagnostics psychiatriques des parents et des enfants, le niveau socio-économique familial, l’âge des parents à la naissance de l’enfant et la présence de symptômes subcliniques liés à la schizophrénie ou au trouble bipolaire.
Principales conclusions de l’étude
- Les enfants de parents atteints de schizophrénie présentent un risque accru de trouble déficitaire de l’attention, de troubles disruptifs et de symptômes psychotiques subcliniques.
- Les enfants de parents atteints de trouble bipolaire montrent une prévalence plus élevée de troubles de l’humeur,de déficit de l’attention et de symptômes bipolaires subcliniques.
- Un meilleur fonctionnement psychosocial des parents et un niveau socio-économique plus élevé peuvent atténuer ce risque.
le saviez-vous ? L’étude a suivi 238 jeunes âgés de 6 à 17 ans pendant quatre ans, évaluant leur état au début et à la fin de cette période.
L’étude souligne l’importance des interventions familiales et sociales pour réduire le risque de troubles mentaux chez les enfants de parents atteints de schizophrénie ou de trouble bipolaire. Un environnement familial stable et un soutien social adéquat peuvent jouer un rôle crucial dans le développement de ces enfants.
Conseil pratique : si vous êtes un parent atteint de schizophrénie ou de trouble bipolaire, assurez-vous de rechercher un soutien psychosocial et de créer un environnement familial stable pour vos enfants.
Les mots des chercheurs
Josefina Castro Fornieles, coordinatrice de l’étude et chercheuse du CIBERSAM, a déclaré :
le travail confirme cet aumento del riesgo y ayuda a comprender mejor qué factores influyen en los problemas de salud mental en hijos de pacientes.
Josefina Castro Fornieles,Coordinatrice de l’étude et chercheuse du CIBERSAM
Elena de la Serna,chercheuse du CIBERSAM et première signataire de l’article,a expliqué que les schémas de symptômes varient en fonction du diagnostic parental.
Implications et perspectives futures
Cette recherche met en évidence la nécessité d’un suivi à long terme des enfants de patients atteints de maladies mentales graves et souligne l’importance de concevoir des stratégies préventives pour ces populations à haut risque.Bien que des études avec des échantillons plus vastes soient nécessaires, cette recherche contribue à une meilleure compréhension des mécanismes de transmission intergénérationnelle de la vulnérabilité aux troubles mentaux chez les enfants et les adolescents.
FAQ
Quels sont les principaux risques pour les enfants de parents atteints de schizophrénie ?
Les principaux risques incluent le trouble déficitaire de l’attention, les troubles disruptifs et les symptômes psychotiques subcliniques.
Quels sont les principaux risques pour les enfants de parents atteints de trouble bipolaire ?
Les principaux risques incluent les troubles de l’humeur, le déficit de l’attention et les symptômes bipolaires subcliniques.
Quels facteurs peuvent atténuer ces risques ?
Un meilleur fonctionnement psychosocial des parents et un niveau socio-économique plus élevé peuvent atténuer ces risques.
Les interventions familiales et sociales sont cruciales pour réduire le risque de troubles mentaux chez ces enfants.