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Malgré l'absence d'accord à la suite du conclave sur les retraites, le Premier ministre François Bayrou ne veut pas baisser les bras sur la question. Objectif : trouver un accord sur les avancées concrètes entre les partenaires sociaux et éviter aussi la censure.
Défendre le bilan du conclave sur les retraites malgré l'absence d'un accord : tel est la tâche de François Bayrou. Le Premier ministre s'est exprimé ce jeudi pour souligner les avancées lors des négociations entre les partenaires sociaux, disant vouloir les intégrer dans le prochain budget de la sécurité sociale.
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Censure socialiste
Même si aucun accord n’a été trouvé, il refuse de parler d’échec, estimant qu’un compromis est à portée de main. L'objectif est clair pour le locataire de Matignon : éviter la censure.
Mais avant même sa conférence de presse, les socialistes ont déposé une motion de censure. Ils dénoncent la méthode Bayrou sur les retraites. "Je n'imagine pas que le parti de Jacques Delors et de Michel Rocard par exemple, pour ne citer que ceux qui ne sont plus là, puissent considérer que (le conclave sur les retraites ndlr), c'est objet de censure", juge de son coté le Premier ministre.
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Ne pas profiter de "la sécurité de l'emploi"
Pas convaincu, le PS persiste à brandir la censure. Le chef du gouvernement tacle aussi ceux qui l’accusent de gagner du temps, y compris dans son propre camp : "Que voulez-vous, la malveillance est plus répandue que la lucidité". Mais l’opinion publique doute. Selon un sondage Odoxa-Backbone pour Le Figaro, deux Français sur trois pensent que François Bayrou ne finira pas l’année à Matignon.
"Mon travail à moi, notre mission à nous, c’est de répondre aux enjeux du pays sans rechercher, si j’ose dire, la sécurité de l’emploi", prône François Bayrou face aux journalistes. Mais la sécurité de l’emploi est tout de même assurée pour l’instant : la motion socialiste a peu de chances d’être adoptée, le Rassemblement national ayant déjà annoncé qu’il ne la voterait pas.
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