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La ministre de la culture Rachida Dati était l'invitée de La Grande interview Europe 1-CNews. Au micro de Sonia Mabrouk, la maire du 7ème arrondissement de Paris est revenue sur l'importance de regrouper les forces de l'audiovisuel, face au désamour grandissant des Français et à la concurrence affutée des plateformes.
TF1, France Télé, Netflix, Youtube... Jamais les Français n'ont eu accès à autant de contenus audiovisuels. De quoi mettre sous pression les chaînes de télévisions, qui font face au vieillissement de leur audience et à la difficulté de séduire les jeunes.
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Concurrence accrue
Pour y faire face, une nouvelle réforme de l'audiovisuel public est sur la table. Soutenue par Rachida Dati, ministre de la Culture, elle doit regrouper dans une même holding France TV (France 2, France 3, etc), Radio France (France Inter, France Info, etc) l'INA et même France Médias Monde (RFI, France 24, etc).
Invité ce mardi sur le plateau de La Grande interview Europe 1-CNews, la ministre de la Culture Rachida Dati estime que "le statu quo n'est plus possible. Il faut réformer l'audiovisuel public".
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"Il faut réformer"
"Il y a une majorité pour adopter cette réforme. Elle est attendue depuis des années", insiste-t-elle. "Mais il y a une chose qui est sûre, c'est qu'aujourd'hui, il y a une désaffection des jeunes et des classes populaires vis-à-vis de l'audiovisuel public. C'est quand même près de 4 milliards d'euros d'argent public", insiste-t-elle, estimant qu'il est maintenant urgent de représenter à nouveaux toutes les opinions des Français.
"Aujourd'hui, les usages ont changé. 62% des Français s'informent sur les réseaux sociaux. La concurrence, ce n'est plus les chaînes traditionnelles. Ce sont les plateformes et les réseaux sociaux. Aujourd'hui, il faut regrouper ses forces, notamment celles de l'audiovisuel public et il faut évidemment une organisation cohérente", conclut-elle, avant d'assurer : "Le statu quo n'est plus une option, il faut réformer cet audiovisuel".
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