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"Je ne veux pas d'une droite à mi-temps", a déclaré Bruno Retailleau, ministre de l'Intérieur, invité de La Grande interview Europe 1-CNews lundi, au lendemain de sa large victoire à la présidence des Républicains.
Avec 74,3% contre 25,7%, Bruno Retailleau a largement remporté dimanche la course à la présidence des Républicains face à son rival Laurent Wauquiez. Un succès qui le renforce à droite comme candidat potentiel à la présidentielle. "Bien sûr que j’ai été surpris", reconnaît Bruno Retailleau, invité de La Grande interview Europe 1-CNews lundi.
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S’il avait senti des signaux positifs – le remplissage des salles, l’engagement des militants, les bons résultats lors des élections partielles – il confie ne pas avoir anticipé un tel plébiscite. "Même dans mes rêves les plus fous, je ne l’avais pas imaginé."
"Un vent d’espoir s’est levé"
S’il admet avoir hésité à se lancer dans cette élection interne, craignant l’exposition et les attaques, Bruno Retailleau dit s’être senti porté par une dynamique née de l’entrée de la droite au gouvernement. "Un vent d’espoir s’est levé. Je ne voulais pas qu’il retombe", explique-t-il.
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Ce retour de l’élan militant, après des années de désillusions, le conforte dans son engagement. "Beaucoup de nos électeurs nous avaient tourné le dos parce que la droite s’était excusée d’être de droite. Elle avait baissé la tête."
Pour le ministre de l'Intérieur, la mission est claire : reconstruire une droite pleinement assumée. "Je ne veux pas d’une droite à moitié de droite, d’une droite à mi-temps." Il appelle de ses vœux une ligne ferme, claire, enracinée dans les convictions. "Une droite sereine, audacieuse, courageuse, mais qui soit elle-même."
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