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PARIS – 9 mai 2024 – Des recherches récentes mettent en lumière d’importantes disparités en matière de santé entre les hommes et les femmes. L’étude,menée sur 56 000 personnes,a examiné les différences au niveau des protéines sanguines et leurs liens avec diverses maladies. On constate que des facteurs autres que la génétique jouent un rôle majeur. Pour en savoir davantage…
Pourquoi certaines maladies, symptômes et résultats de santé diffèrent-ils entre les hommes et les femmes ? Une étude récente explore les mécanismes biologiques sous-jacents à ces disparités.
L’étude a analysé les données de 56 000 personnes issues de deux cohortes importantes, évaluant la relation génétique entre environ 6 000 protéines et des centaines de maladies.
Les résultats révèlent que les niveaux sanguins de ces protéines varient significativement entre les hommes et les femmes dans deux tiers des cas.
Cependant, seules une centaine de protéines présentent des différences dans les mécanismes génétiques qui régulent leur production, suggérant que les facteurs génétiques ne sont pas les seuls en cause.
« La expression de protéines difiere entre los sexos, pero estas diferencias no se deben exclusivamente a la genética »,
explique un des auteurs principaux de l’étude.
L’étude souligne l’importance des facteurs non génétiques,tels que l’environnement social,l’accès aux ressources,l’éducation,le travail et le style de vie. Ces éléments ont un impact significatif et doivent être pris en compte.
« resultados muestran que, con pocas excepciones, los mecanismos genéticos que regulan las proteínas son muy similares entre hombres y mujeres. Esto respalda la idea de que muchos descubrimientos científicos pueden aplicarse a ambos sexos, pero también señala que hay áreas donde un enfoque único no es suficiente »,
affirme une autre auteure.
L’étude a classé les participants en hommes ou femmes en fonction de leur information chromosomique (XX ou XY), une décision motivée par la nature génétique de l’analyze. Les auteurs reconnaissent que cette classification ne reflète pas nécessairement l’identité de genre des participants, mais elle était nécessaire en raison du manque de données uniformes sur l’identité de genre.
En matière de cancer
Des études récentes mettent en évidence des disparités significatives entre les sexes en matière de cancer. Les hommes présentent une incidence et une mortalité plus élevées dans la plupart des types de cancers non reproductifs. Les femmes, bien qu’ayant une meilleure survie, ont tendance à moins bénéficier de certains traitements.Ces différences sont attribuables à des facteurs biologiques (métabolisme, physiologie) et socioculturels (accès aux soins, perception du risque). L’efficacité et la toxicité des traitements oncologiques varient également selon le sexe, soulignant la nécessité de personnaliser les thérapies et d’assurer une meilleure représentation féminine dans les essais cliniques.
L’étude renforce la nécessité d’intégrer les facteurs biologiques et sociaux pour mieux comprendre les différences de santé entre les hommes et les femmes. L’objectif est de concevoir des traitements plus personnalisés et équitables.