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RÉCIT - En annonçant le dépôt d’une motion de censure après l’échec du conclave sur les retraites, le PS acte la fin de son indulgence. Le premier ministre a pourtant tenté de l’entretenir en multipliant les gestes en sa direction depuis son arrivée à la tête du gouvernement.
Depuis le congrès de Nancy, mi-juin, où il a été reconduit premier secrétaire du Parti socialiste (PS) d’une courte tête, Olivier Faure prévenait : « François Bayrou devrait comprendre que nous ne sommes pas son assurance-vie. » Les socialistes le lui ont soudainement rappelé mardi, par la voix de leur président de groupe à l’Assemblée nationale, Boris Vallaud.
L’élu des Landes a annoncé le dépôt d’une motion de censure pour renverser le gouvernement, puisque le conclave sur les retraites a échoué et que le premier ministre ne s’engage pas à revenir avec un texte devant le Parlement. Il s’agissait pourtant de la principale condition de la « non-censure » du groupe PS en janvier dernier, contribuant à offrir un sursis à François Bayrou à Matignon.
« Le respect de la parole donnée est la base même du régime démocratique », a jugé Boris Vallaud, alors que lui et les siens comptaient sur un retour de la réforme des retraites dans le débat parlementaire pour revenir sur le…