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Martin Griffiths: «Ce n’est pas le moment que l’ONU batte en retraite»

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Publié le 16 septembre 2025 à 20:10. / Modifié le 16 septembre 2025 à 20:24. 8 min. de lecture

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Le Britannique Martin Griffiths, désormais installé à Genève, a dirigé jusqu’à l’an dernier le Bureau des affaires humanitaires de l’ONU (OCHA). Il fut aussi l’envoyé spécial du secrétaire général Antonio Guterres pour le Yémen. Il connaît l’organisation multilatérale sous toutes ses coutures. A quelques jours du segment de haut niveau de la 80e Assemblée générale des Nations unies, il commente les défis de l’organisation et du processus de réforme UN 80.

Lire aussi: A l’aube de son Assemblée générale, le blues de l’ONU

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