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RÉCIT - L’incertitude sur les profils qui seront sur la ligne de départ vers l’Élysée, entre candidatures déclarées et ambitions supposées, contraint les instituts de sondage à multiplier les hypothèses dans leurs enquêtes d’intentions de vote.
Rien ne s’est passé comme prévu. Dans un paysage politique en perpétuelle recomposition depuis la victoire d’Emmanuel Macron en 2017, Marine Le Pen, triple candidate à l’élection présidentielle, incarnait encore récemment un pôle de stabilité. Jusqu’à sa condamnation, fin mars, à une peine d’inéligibilité immédiate - dont elle a fait appel -, sa participation à la prochaine course élyséenne allait de soi. D’abord pour les électeurs du RN, dont le lien avec la chef de file des députés RN est presque affectif. Ensuite pour la majorité des cadres du parti à la flamme, persuadés que la justice n’oserait prononcer un tel verdict. Et enfin pour les instituts de sondage, qui ne voyaient pas l’utilité de tester une alternative à Marine Le Pen dans leurs enquêtes d’intentions de vote, tant sa candidature semblait indéboulonnable.
Face à une situation inédite, où le RN compte, avec Jordan Bardella, deux prétendants à l’élection présidentielle, les instituts de sondage ne peuvent plus écarter l’éventualité…