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Interrogé sur un sondage indiquant que deux tiers des Français souhaitent moins d’immigration, le ministre chargé des Transports, Philippe Tabarot, invité de La Grande interview Europe 1-CNews, estime que "le cadre légal est totalement dépassé" et que nous avons un souci d’assimilation en France, tout en distinguant l'immigration économique et clandestine.
Invité à commenter un sondage CSA pour CNEWS, Europe 1 et le JDD révélant que deux tiers des Français souhaitent une baisse de l’immigration, le ministre chargé des Transports, Philippe Tabarot, a répondu, ce vendredi, sans détour. "Je suis plutôt dans les deux tiers qui pensent qu'il ne faut plus d'immigration en France parce qu'on a un sujet, un souci d'assimilation aujourd'hui, d'intégration", a déclaré le membre du gouvernement.
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Pour lui, le pays traverse une crise d’assimilation et d’intégration qui ne peut plus être ignorée."Nous avons suffisamment de difficultés depuis un certain nombre d'années. Il y a chez nos compatriotes, une crainte par rapport à tout ce que l'on peut vivre et ça doit être dans un cadre légal qui semble totalement dépassé", a ajouté Philippe Tabarot.
"Je suis foncièrement et farouchement opposé"
Le ministre nuance toutefois son propos : il reconnaît que l’immigration peut avoir un rôle utile dans certains secteurs. "On a un sujet dans notre pays qu’on ne peut pas éluder : c’est le problème du travail et des métiers en tension", a-t-il souligné. Selon lui, les Français ne sont pas hostiles à l’idée d’accueillir des travailleurs immigrés, à condition que ceux-ci acceptent de contribuer au pays et d’en partager les valeurs.
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En revanche, il se montre très critique envers l’immigration clandestine ou celle qu’il associe à une volonté de profiter des prestations sociales. "Pour tout le reste, je suis foncièrement et farouchement opposé", a-t-il tranché, appelant à une politique plus rigoureuse.
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