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HENRIQUEZ PARTNERS EXHIBITS AT THE VENICE BIENNALE “SYMPLASMA”

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Symplasma : L’Architecture Biomimétique Face à la Crise Climatique

Cet article explore le projet symplasma, présenté à la Biennale de Venise 2025, et inspiré par la nature pour concevoir un avenir urbain durable.

Comprendre Symplasma et l’Innovation Biomimétique

Symplasma s’inspire des éponges de verre Hexactinellid, des créatures marines résilientes, pour développer des solutions architecturales innovantes face à la crise environnementale. Le projet s’inscrit dans le thème de la Biennale 2025, « to understand / nation », et propose de nouvelles façons de concevoir des structures qui s’intègrent à l’environnement plutôt que de le défier.

L’Inspiration Marine : Les Éponges de Verre

Le modèle des éponges de verre est essentiel. Leur capacité à survivre et à fonctionner efficacement dans leur environnement aquatique, en particulier leur résilience et leur rôle dans l’écosystème océanique, fournit un modèle de conception durable. Symplasma veut s’inspirer de ces créatures marines pour concevoir des bâtiments réactifs et respectueux de l’environnement.

Le Projet à Venise : Sagesse Historique et Métaphorique

À Venise, Symplasma propose des « Machines de durabilité », des structures métaphoriques inspirées des éponges de verre, pour exploiter, stocker et distribuer l’énergie de manière durable. Cette approche combine l’ingéniosité architecturale du passé, illustrée par des édifices comme Santa Maria della Salute, avec les défis contemporains du changement climatique. L’exposition intègre des visuels inspirés des peintures de Canaletto, créant un dialogue entre histoire, art et solutions durables.

L’Submission à Vancouver : Tours “Supertall” et Durabilité

Le projet à Vancouver adapte le concept des éponges de verre à la conception de tours “supertall”. ces structures intègrent des stratégies structurelles et durables pour minimiser leur empreinte carbone et atteindre la carboneutralité.Notamment, une structure diagride, la géothermie, les panneaux photovoltaïques et l’échange de chaleur air-air.

FAQ – Questions fréquentes sur Symplasma

Qu’est-ce que Symplasma ?

Un projet architectural inspiré par les éponges de verre pour créer des structures durables.

Quelle est l’inspiration de ce projet ?

La nature, en particulier les éponges de verre Hexactinellid.

Où le projet sera-t-il présenté ?

À la Biennale de Venise 2025, au Center Culturel Européen.

qu’est-ce que la biomimétisme ?

L’imitation des modèles et stratégies de la nature pour résoudre des problèmes humains.

En quoi les éponges de verre sont-elles importantes ?

Elles sont résilientes et jouent un rôle essentiel dans l’écosystème.

Quels sont les objectifs principaux ?

Créer des structures durables, respectueuses de l’environnement et résilientes face au changement climatique.

Quelles sont les villes concernées ?

Venise et Vancouver.

Tableau comparatif des projets

| Caractéristique | Projet venise | Projet Vancouver |

| :—————————– | :—————————————– | :———————————————— |

| Inspiration | Éponges de verre (métaphorique) | Éponges de verre (structurelle et fonctionnelle) |

| Type de structure | “Machines de durabilité” | Tours “supertall” |

| Technologie utilisée | Exploitation,stockage et distribution d’énergie durables | Diagride,géothermie,photovoltaïque |

| Objectif principal | Durabilité énergétique et symbôle culturel | Atteindre la carboneutralité. | |

L’humanité s’est toujours inspirée du monde naturel, utilisant la technologie pour imiter ce que la nature a créé au fil de millions d’années d’évolution. Face à la crise environnementale actuelle, il est impératif de se tourner vers la nature pour concevoir des structures et des villes qui abordent la durabilité de manière pragmatique et l’expriment avec poésie.*Symplasma*, s’inspirant du thème de la Biennale 2025, « *To understand / nation* », puise son inspiration dans l’éponge de verre Hexactinellid, une espèce rare et ancienne. Sa résilience, sa fonction et sa capacité à survivre et à jouer un rôle essentiel dans l’écosystème océanique sont particulièrement remarquables. les habitats de ces éponges de verre se trouvent à la fois près de vancouver, où des récifs ornent la côte du nord-ouest Pacifique de l’Amérique du Nord, et à Venise, qui était recouverte par l’ancienne mer de Téthys durant l’ère paléozoïque.

En fusionnant la sagesse biologique des éponges de verre avec les leçons historiques ancrées dans le tissu urbain de Venise, *Symplasma* imagine de nouveaux modèles de résilience. il s’agit de structures qui ne résistent pas à la nature, mais qui évoluent avec elle, exploitant l’énergie du soleil, du vent et de la terre tout en s’adaptant. Cette approche repositionne Venise à la fois comme un récit édifiant et comme un symbole d’espoir, une ville en constante évolution qui, à l’instar des mondes imaginaires de Calvino, se réinvente sans cesse face aux forces qui la dépassent.L’exposition présente des sculptures d’éponges de verre monumentales, réalisées en impression 3D, des interventions visuelles inspirées des peintures de Canaletto, et une proposition pour les premières tours « supertall » de Vancouver.

Les tours de Vancouver s’inspirent de l’éponge de verre, tant sur le plan esthétique que fonctionnel, en intégrant des stratégies structurelles et durables qui minimisent leur empreinte carbone et permettent d’atteindre une exploitation carboneutre.Une structure diagride continue permet au bâtiment de gérer simultanément les charges latérales et gravitationnelles. De plus, la géothermie, les panneaux photovoltaïques et l’échange de chaleur air-air éliminent le besoin de sources d’énergie à forte intensité de carbone.

En complément du projet de Vancouver, un projet allégorique à Venise propose d’introduire de nouvelles « éponges de verre » métaphoriques, ou « Machines de durabilité ». Ces structures utiliseraient la nature pour exploiter, stocker et distribuer l’énergie de manière durable, et seraient représentées dans le contexte des peintures intemporelles de Canaletto.Venise a inspiré des générations d’artistes et de penseurs, évoquant une ville suspendue entre réalité matérielle et possibilité onirique, un espace où l’histoire, l’eau et le temps s’entremêlent. La ville a également fait preuve d’audace face aux crises.Les grandes églises construites pour lutter contre la peste, comme Santa maria della Salute, étaient à la fois des actes de dévotion spirituelle et d’ingéniosité architecturale, symboles de résilience face à la catastrophe. Aujourd’hui, alors que les deux villes sont confrontées à la menace existentielle du changement climatique, ces réponses historiques prennent une nouvelle signification. La crise climatique, à l’instar des épidémies du passé, exige une remise en question, non seulement pour survivre, mais aussi pour se transformer.

L’exposition est présentée au Center Culturel Européen dans le cadre de l’exposition TIME SPACE EXISTENCE au Palazzo Bembo, près du pont du Rialto, dans le cadre de la Biennale de Venise, du 10 mai au 23 novembre 2025.

« *To understand / nation* »

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