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CONTRE-POINT - Auteur de la dissolution qui a provoqué l’instabilité ambiante, Emmanuel Macron peut difficilement imputer cette situation exclusivement à François Bayrou.
Et Macron sortit de ses gonds. Et il y en eut pour tout le monde. Après la sortie de Bruno Retailleau sur les énergies renouvelables et l’accusation de « populisme » que lui a lancée en retour sa collègue Agnès Pannier-Runacher, le chef de l’État a sommé chaque ministre de « s’occuper des affaires pour lesquelles il est nommé ». Rien d’étonnant : le recadrage ministériel a toujours été une discipline présidentielle. Aussi récurrente qu’inopérante.
Mais depuis Roquefort, jeudi soir, la flèche la plus aiguisée visait François Bayrou. « J’ai nommé un premier ministre. Un premier ministre doit diriger son gouvernement. » Sous-entendu : il ne le fait pas, et je suis obligé de le faire à sa place. Cela fait quelque temps que ceux qui fréquentent le chef de l’État témoignent de son agacement face à la méthode et à la procrastination de celui qui s’était imposé à lui en décembre. Mais c’est la première fois que le reproche est public ; un reproche qui traduit de manière…