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Extrémistes : Quel impact ?

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Paris – 7 Mai 2024 –

Le rapport du Verfassungsschutz met en lumière l’influence des extrémistes au sein de l’AfD,parti politique allemand. Il y a un an, le tribunal a prouvé des actions contraires à l’ordre constitutionnel. Le service de renseignement intérieur détaille l’idéologie d’extrême droite prédominante et les déclarations controversées des responsables, notamment Alice Weidel. Cette enquête approfondie révèle les tentatives du parti de minimiser ce problème,mais les preuves sont accablantes. Pour en savoir plus, lisez la suite…

Voici une réécriture de l’article, axée sur la clarté et la concision, tout en conservant les informations essentielles :

L’influence des extrémistes sur l’AfD : un examen approfondi

L’article examine comment l’extrémisme façonne l’afd (Alternative für Deutschland), un parti politique allemand. il y a un an, l’AfD s’est défendue devant le tribunal administratif supérieur de Rhénanie-du-Nord-westphalie, contestant les accusations du service de renseignement intérieur allemand (Verfassungsschutz) qui documentait des déclarations hostiles aux étrangers. L’avocat de l’AfD a minimisé l’importance de ces déclarations, soulignant que le service de renseignement se basait sur les propos d’une minorité de membres, alors que le parti comptait plus de 42 000 adhérents (aujourd’hui plus de 50 000).Roman Reusch, membre du comité exécutif fédéral du parti, a qualifié le rapport du Verfassungsschutz de simple compilation de “faux pas”, affirmant que le parti tentait d’écarter ceux qui “allaient trop loin”. Cependant,cette position lui a valu des critiques internes,certains membres estimant qu’il était déloyal de dénigrer ses camarades. La cheffe du parti, Alice Weidel, a même déclaré en 2023 n’avoir jamais rencontré d’extrémiste de droite au sein de l’AfD.

Pourtant, en 2017, Weidel avait soutenu une procédure d’exclusion contre Björn Höcke en raison de son discours controversé sur le “mémorial de la honte”. Bien que l’exclusion n’ait pas abouti, Weidel a déclaré en février de cette année que la tentative d’exclure Höcke était “totalement exagérée” et qu’elle pourrait l’imaginer comme ministre.

Bien que le nombre exact d’extrémistes au sein de l’AfD soit débattu, le tribunal a estimé il y a un an qu’il existait des preuves suffisantes pour soupçonner que le parti menait des actions contraires à l’ordre constitutionnel démocratique, notamment en dénigrant les étrangers et les musulmans, ce qui était manifestement approuvé au sein du parti.

Aujourd’hui, le Verfassungsschutz a classé l’AfD comme un parti d’extrême droite avéré. Pour cela, il doit prouver que les objectifs anticonstitutionnels sont majoritaires au sein du parti et que ces objectifs “façonnent” le parti dans sa “tendance fondamentale”. Cela peut se manifester par une radicalisation des revendications du parti, l’ascension d’extrémistes à des postes élevés, ou un grand nombre de déclarations anticonstitutionnelles incontestées.

Le Verfassungsschutz conclut qu’il n’y a personne au sein du comité exécutif fédéral actuel de l’AfD qui s’oppose à l’orientation anticonstitutionnelle du parti. Au contraire, la plupart des membres du comité exécutif ont eux-mêmes fait des déclarations problématiques. il n’y a pas de tentative visible de se distancer de l’idéologie d’extrême droite au sein du parti.

Le rapport du Verfassungsschutz cite plus de 350 responsables de l’AfD, issus de tous les niveaux du parti, pour illustrer comment le concept de “peuple ethnique” est utilisé à des fins politiques. Il analyse les violations de la dignité humaine, du principe démocratique, de l’état de droit et la position du parti sur le national-socialisme. Pour être classé comme “extrémiste de droite avéré”,le Verfassungsschutz estime qu’il suffit que les preuves se renforcent dans une seule de ces catégories.

Parmi les personnes citées figurent les deux chefs du parti, Alice Weidel et Tino Chrupalla, ainsi que des personnalités connues pour leurs dérapages verbaux, comme Maximilian Krah et Björn Höcke. Cependant, le rapport met également en évidence de nombreux exemples de responsables de parti moins connus, issus de tous les niveaux de l’AfD.

Le rapport cite Weidel à plusieurs reprises pour avoir divisé les gens en catégories de valeur différente, ce qui, selon le Verfassungsschutz, viole la dignité humaine.

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