Israël a annoncé, jeudi, que « la version finale de la première phase » du plan Trump a été signée par toutes les parties. Le cessez-le-feu devrait ensuite entrer en vigueur dans les vingt-quatre heures après son approbation.

Live animé par Cécile Bouanchaud, Ramzy Bensaadi (Service photo) et Charlotte Herzog

Le ministre des affaires étrangères israélien, Gideon Saar, à Belgrade, en Serbie, le mardi 30 septembre 2025. - DARKO VOJINOVIC / AP Le ministre des affaires étrangères israélien, Gideon Saar, à Belgrade, en Serbie, le mardi 30 septembre 2025. DARKO VOJINOVIC / AP

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« Personne ne sera contraint à partir de Gaza », assure Donald Trump

Le président américain, Donald Trump, a assuré jeudi que « personne ne serait contraint à partir » de Gaza, répétant une promesse contenue dans son « plan de paix » dont Israël et le Hamas viennent d’approuver une première phase. « Personne ne sera forcé de partir. Non, c’est même le contraire », a-t-il dit devant la presse à la Maison Blanche.

« J’ai hâte d’y être » : Donald Trump sera dimanche au Moyen-Orient

Donald Trump a déclaré jeudi qu’il « essaierait » de se rendre en Egypte pour la signature de l’accord de cessez-le-feu et de libération des otages retenus par le Hamas dans la bande de Gaza, ajoutant qu’il prévoyait de partir dimanche pour la région.

« Nous allons essayer de nous y rendre, et nous travaillons sur le timing, le timing exact. Nous allons aller en Egypte, où nous (…) allons avoir une signature officielle » de l’accord, a affirmé le président américain.

« Les otages rentreront lundi ou mardi. Je serai probablement là. J’espère être là. Nous prévoyons de partir dimanche, et j’ai hâte d’y être », a affirmé le président américain à des journalistes à la Maison Blanche.

Le président israélien a rencontré les émissaires américains Jared Kushner et Steve Witkoff à Jérusalem

Isaac Herzog a discuté, jeudi soir, à Jérusalem avec M. Kushner et M. Witkoff de l’accord « en vue d’assurer le retour des otages et de mettre fin à la guerre » à Gaza, selon un communiqué de la présidence.

« Le président Herzog a exprimé sa profonde gratitude au président [américain, Donald] Trump, à M. Kushner et à M. Witkoff pour leur rôle central et historique dans le rapatriement [à venir] des otages (…) et leur aide pour tracer une voie vers une nouvelle ère de coopération au Moyen-Orient », est-il mentionné dans le texte.

Les émissaires américains se sont par la suite réunis avec Benyamin Nétanyahou, selon le bureau du premier ministre israélien.

Les médias israéliens rapportent que MM. Kushner et Witkoff ont assisté plus tard à la réunion du gouvernement israélien qui se tient pour approuver l’accord sur Gaza annoncé par le président américain.

Un ministre israélien d’extrême droite affirme qu’il votera contre l’accord sur Gaza

Le ministre d’extrême droite israélien Itamar Ben Gvir a affirmé, jeudi, qu’il votera contre l’accord sur Gaza conclu avec le Hamas, car il prévoit la libération de centaines de prisonniers palestiniens.

« Le cœur de chacun d’entre nous se remplit de joie (…) à l’idée que tous les otages devraient être libérés (…). Cependant, parallèlement à cette joie, il est absolument interdit d’ignorer la question du prix : la libération de milliers de terroristes, dont 250 meurtriers qui devraient être relâchés des prisons, c’est un prix insupportablement lourd à payer », a écrit le ministre de la sécurité intérieure, Itamar Ben Gvir sur X.

Itamar Ben Gvir, à Jérusalem, le 8 septembre 2025. Itamar Ben Gvir, à Jérusalem, le 8 septembre 2025.

« Je ne peux pas voter en faveur d’un accord qui libère ces terroristes meurtriers, et nous nous y opposerons au sein du gouvernement », a-t-il ajouté. La déclaration a été publiée alors que le cabinet de sécurité israélien votait sur l’accord.

Le point sur la situation, jeudi 9 octobre, dans la soirée

  • Israël et le Hamas sont parvenus, dans la nuit de mercredi à jeudi, à un accord sur un cessez-le-feu à Gaza et une libération des otages, une étape majeure visant à mettre fin à deux ans de guerre destructrice dans le territoire palestinien.
  • Le bureau du premier ministre israélien a déclaré que l’accord n’entrerait en vigueur qu’après l’approbation du gouvernement au complet, « attendue dans la soirée ». L’accord devait d’abord être validé par le cabinet de sécurité israélien qui s’est réuni en fin de journée.
  • Le cessez-le-feu doit entrer en vigueur dans les vingt-quatre heures après cette réunion. Les 47 otages israéliens, dont 20 présumés vivants, seront libérés au plus tard soixante-douze heures après l’entrée en vigueur du cessez-le-feu, soit au plus tard lundi, a rapporté une porte-parole du gouvernement israélien.
  • Donald Trump, qui a annoncé l’accord, conclu sur la base d’un plan qu’il a présenté à la fin de septembre, pourrait se rendre à Jérusalem dimanche, selon la présidence israélienne. Le président américain a, par ailleurs, affirmé qu’il « essaierait » de se rendre en Egypte, où le président Abdel Fattah Al-Sissi l’a invité à une cérémonie pour célébrer l’accord de paix.
  • Cet accord a été salué par les responsables de nombreux pays. Le président français, Emmanuel Macron, a souligné, jeudi, la nécessité de préserver l’unité de Gaza et de la Cisjordanie sous le contrôle de l’Autorité palestinienne pour ne pas compromettre la création d’un Etat palestinien.
  • La défense civile a fait état de bombardements dans le centre et le sud du territoire palestinien. Selon le ministère de la santé de la bande de Gaza, administrée par le Hamas, 25 personnes ont été tuées, jeudi, par l’armée israélienne.
  • L’agence des Nations unies pour les réfugiés palestiniens rappelle qu’elle dispose « de médicaments et d’autres produits de première nécessité pour Gaza » et « de quoi nourrir l’ensemble de la population pendant les trois prochains mois ». L’OMS, l’agence spécialisée dans la santé publique, est « prête à monter en puissance dans ses efforts pour répondre aux besoins sanitaires urgents des patients à Gaza et à soutenir la réhabilitation du système de santé détruit ».

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Le chef des houthistes affirme que le groupe demeure en « alerte » jusqu’à l’entrée en vigueur de l’accord

Le chef des rebelles yéménites, soutenus par l’Iran, a affirmé jeudi que le groupe rebelle suivrait de près la mise en œuvre de l’accord de cessez-le-feu entre le Hamas et Israël avant d’envisager de suspendre ses opérations.

« Nous resterons en alerte et pleinement préparés, et nous observerons attentivement la phase de mise en œuvre de cet accord. Cet accord permettra-t-il réellement de mettre fin à l’agression contre la bande de Gaza ? », a déclaré Abdel Malik Al-Houthi, avant d’ajouter : « Nous devons rester au plus haut niveau de vigilance et de préparation. » Les houthistes ciblent Israël depuis le début de la guerre à Gaza, disant soutenir ainsi les Palestiniens.

L’accord de paix entre Israël et le Hamas célébré dans le monde

Bonjour Enoris,

Si l’accord de paix a été signé ce matin en Egypte par toutes les parties, le texte devait encore être validé jeudi par le cabinet de sécurité israélien, avant une réunion du gouvernement au complet. Dans les vingt-quatre heures suivant l’entrée en vigueur du cessez-le-feu, l’armée israélienne se retirera de zones où elle est déployée, mais gardera le contrôle de 53 % du territoire de la bande de Gaza, a rapporté Shosh Bedrosian, une porte-parole du bureau du premier ministre israélien.

En attendant, l’armée israélienne continue de bombarder Gaza. Jeudi soir, des journalistes de l’Agence France-Presse et des témoins ont affirmé entendre encore des explosions et des tirs d’artillerie dans le centre et le sud du territoire palestinien. Selon le ministère de la santé de la bande de Gaza, administrée par le Hamas, 25 personnes ont été tuées jeudi par l’armée israélienne.

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L’Egypte appelle Israël à « la désescalade ou à cesser le feu » jusqu’à la signature de l’accord

Le président égyptien, Abdel Fattah Al-Sissi, a appelé jeudi Israël à « la désescalade ou à cesser le feu » jusqu’à la signature de l’accord pour ne pas compromettre son « esprit ». « Il est peut-être important que nous fassions également un effort pour convaincre les Israéliens d’une désescalade ou de cesser le feu en attendant la signature de l’accord que nous avons atteint », a déclaré le chef d’Etat égyptien lors d’une rencontre avec l’envoyé américain Steve Witkoff et Jared Kushner, gendre du président américain Donald Trump.

Le premier ministre indien félicite Donald Trump concernant l’accord entre le Hamas et Israël

Narendra Modi a annoncé, jeudi, avoir félicité son « ami » Donald Trump pour le « succès du plan de paix historique » dans la bande de Gaza, au cours d’un entretien téléphonique. L’Inde, une alliée d’Israël, soutient l’autodétermination des Palestiniens et prône une solution à deux Etats.

S’exprimant sur les réseaux sociaux, M. Modi a ajouté que lui et le président américain avaient, à cette occasion, « évalué les progrès réalisés dans les négociations commerciales » bilatérales en cours après que les Etats-Unis eurent imposé des droits de douane de 50 % sur les produits importés d’Inde. Cette mesure que Donald Trump a prise en raison des achats par l’Inde à la Russie de pétrole, qui, selon les Américains, contribuent à financer l’invasion russe en Ukraine, a dégradé les relations entre New Delhi et Washington.

Donald Trump assure qu’il y aura un « désarmement » dans une prochaine phase de l’accord sur Gaza

Donald Trump a déclaré, jeudi, qu’il y aurait « un désarmement » et un « retrait » de troupes dans une prochaine phase de l’accord sur Gaza, tout en rappelant que la priorité était le retour des derniers otages. A ce sujet, le président américain a reconnu que les corps de certains otages seraient « un peu difficiles à trouver », pendant une réunion de son conseil des ministres à la Maison Blanche.

Lors d’un appel téléphonique, le président égyptien dit à Donald Trump qu’il « mérite le prix Nobel de la Paix »

Le président égyptien, Abdel Fattah Al-Sissi, a confié à son homologue américain, Donald Trump, lors d’un entretien téléphonique, que, selon lui, il « mérit[ait] le prix Nobel de la paix » pour ses efforts menant à la conclusion d’un accord pour un cessez-le-feu à Gaza.

Le chef d’Etat égyptien a également convié Donald Trump à participer à la cérémonie qui se tiendra en Egypte pour célébrer l’accord pour un cessez-le-feu sur Gaza, dont seule la première phase a été approuvée lors des négociations dans la station balnéaire de Charm El-Cheikh. Dans un communiqué, la présidence égyptienne indique qu’Al-Sissi « a souligné la nécessité d’avancer vers la mise en œuvre de l’accord de cessez-le-feu dans la bande de Gaza dans toutes ses étapes ».

Donald Trump affirme qu’il « essaiera » d’aller en Egypte pour la signature de l’accord sur Gaza

Le président américain, Donald Trump, a déclaré, jeudi, qu’il « essaierait » de se rendre en Egypte pour la signature de l’accord de cessez-le-feu et de libération des otages retenus par le Hamas dans la bande de Gaza.

Le président américain, Donald Trump, s’adresse aux médias, lors d’une réunion à la Maison Blanche, à Washington, le 9 octobre 2025. Le président américain, Donald Trump, s’adresse aux médias, lors d’une réunion à la Maison Blanche, à Washington, le 9 octobre 2025.

« Nous allons essayer de nous y rendre, et nous travaillons sur le timing, le timing exact. Nous allons aller en Egypte, où nous (…) allons avoir une signature officielle » de l’accord, a-t-il affirmé en réunissant son gouvernement à la Maison Blanche.

« La Jordanie continuera de soutenir la quête de liberté et d’un Etat des Palestiniens sur leur sol national », affirme le roi Abdallah II

« Le cessez-le-feu à Gaza est une étape-clé pour mettre fin à la guerre, afin que les Gazaouis puissent vivre en sécurité et recevoir une aide sans entrave. (…) La Jordanie continuera de soutenir la quête de liberté et d’un Etat des Palestiniens sur leur sol national », a réagi le roi Abdallah II de Jordanie, saluant l’accord trouvé en Egypte entre Israël et le Hamas sous l’égide de Donald Trump pour un cessez-le-feu et la libération d’otages.

La libération de tous les otages « devrait mettre fin à cette guerre », selon le ministre des affaires étrangères israélien

Le ministre des affaires étrangères israélien, Gideon Saar, a estimé jeudi que la libération de tous les otages par le Hamas « devrait mettre fin à cette guerre ».

« Nous aurons d’abord un cessez-le-feu immédiatement après l’approbation de la décision par le gouvernement [israélien], puis un engagement de la part du Hamas, dans les soixante-douze heures, de libérer tous les otages. Je pense que cela peut, que cela devrait mettre fin à cette guerre », a-t-il déclaré, selon la transcription d’une interview accordée à la chaîne de télévision américaine Fox News.

Le président palestinien rencontre des militants israéliens pour la paix alors que l’accord sur Gaza est annoncé

Le président de l’Autorité palestinienne, Mahmoud Abbas, a rencontré jeudi à Ramallah des militants israéliens pour discuter d’une paix durable entre Israéliens et Palestiniens. « Je salue l’accord signé aujourd’hui, la fin de la guerre et la libération des otages », a déclaré M. Abbas aux dizaines de représentants d’organisations pacifistes israéliennes réunis au palais présidentiel de cette ville de Cisjordanie, un territoire occupé par Israël depuis 1967.

« Il y a quelques mois, [le président américain, Donald] Trump, avait un plan pour expulser les Palestiniens, mais plus tard il l’a oublié », a-t-il ajouté. « Nous resterons dans notre patrie et nous établirons un Etat palestinien à Gaza, en Cisjordanie et à Jérusalem-Est », a-t-il poursuivi.

M. Abbas, dont les apparitions publiques sont rares, s’exprimait depuis un pupitre en présence du député israélien d’origine palestinienne Ayman Odeh et du vice-président de l’Autorité palestinienne, Hussein Al-Sheikh.

« L’accélération » de la colonisation en Cisjordanie est « une menace existentielle » pour un Etat de Palestine, alarme Emmanuel Macron

L’accélération de la colonisation en Cisjordanie « constitue une menace existentielle pour un Etat de Palestine », a affirmé jeudi le président français, Emmanuel Macron.

Emmanuel Macron s’exprime lors d’une réunion ministérielle sur la mise en œuvre du plan de paix au Moyen-Orient, au Quai d’Orsay, à Paris, le 9 octobre 2025. Emmanuel Macron s’exprime lors d’une réunion ministérielle sur la mise en œuvre du plan de paix au Moyen-Orient, au Quai d’Orsay, à Paris, le 9 octobre 2025.
Au Quai d’Orsay, à Paris, le 9 octobre 2025. Au Quai d’Orsay, à Paris, le 9 octobre 2025.

« Elle est non seulement inacceptable et contraire au droit international. Elle alimente les tensions, la violence, l’instabilité et, de fait, elle vient d’abord contredire le plan américain et notre ambition collective d’une région en paix », a déclaré le président français, qui présidait à Paris une conférence de ministres des affaires étrangères européens et arabes sur l’avenir de Gaza.

Après l’accord de paix entre le Hamas et Israël, Emmanuel Macron salue un « accord historique », prévenant que « les heures à venir seront décisives »

Emmanuel Macron a salué « l’accord historique conclu à Charm El-Cheikh », alors qu’il réunit à Paris les ministres des affaires étrangères du « Quint européen » (l’Allemagne, l’Espagne, la France, l’Italie, le Royaume-Uni), du « Quint arabe » (l’Arabie saoudite, l’Egypte, les Emirats Arabes Unis, la Jordanie, le Qatar) ainsi que ceux de l’Union européenne, du Canada et de Turquie.

« Cette nuit, un accord historique a été conclu à Charm El-Cheikh, et je tiens ici à féliciter le président Trump pour son engagement personnel, l’émir du Qatar et le premier ministre [des Emirats arabes unis], cheikh Mohammed [Ben Rachid Al Maktoum] et son équipe de négociation, le président [égyptien, Al-]Sissi et le président [turc, Recep Tayyip] Erdogan », a déclaré Emmanuel Macron.

Le président de la République, Emmanuel Macron (à gauche), est accueilli par le ministre des affaires étrangères démissionaire, Jean-Noël Barrot, au Quai d’Orsay, le 9 octobre 2025. Le président de la République, Emmanuel Macron (à gauche), est accueilli par le ministre des affaires étrangères démissionaire, Jean-Noël Barrot, au Quai d’Orsay, le 9 octobre 2025.
Emmanuel Macron et Jean-Noël Barrot, au Quai d’Orsay, le 9 octobre 2025. Emmanuel Macron et Jean-Noël Barrot, au Quai d’Orsay, le 9 octobre 2025.

« Les heures à venir seront décisives », a prévenu le chef de l’Etat, qui a reçu, plus tôt dans la journée, à l’Elysée, le premier ministre du Qatar, le cheikh Mohammed Ben Abderrahmane Al Thani, qui est l’un des médiateurs des négociations de Charm El-Cheikh. « Le travail et les responsabilités ne s’arrêtent pas à ce premier temps (…) c’est la raison pour laquelle notre réunion est très importante », a estimé M. Macron, rappelant que cette réunion pour travailler sur « le jour d’après » s’inscrit « en continuité avec l’initiative américaine ».

M. Macron a détaillé cette « vision » qu’il partage avec le président américain : « Celle d’un cessez-le-feu permanent, d’une stabilisation de Gaza qui soit à même d’offrir la sécurité pour tous, à travers une solution politique fondée sur un Etat palestinien. »

Une visite de Donald Trump à Jérusalem possible dimanche, selon la présidence israélienne

Donald Trump pourrait se rendre à Jérusalem dimanche, selon un communiqué de la présidence israélienne publié jeudi. « Au vu de la libération attendue des otages et de la visite à venir du président des Etats-Unis, Donald J. Trump, en Israël, [le président Isaac Herzog] a décidé d’annuler un événement public [à sa résidence] qui était prévu pour le dimanche 12 octobre 2025 », rapporte le communiqué.

« Cette décision a été prise en raison des fermetures de sécurité attendues à Jérusalem autour de la visite et des développements historiques qui auront lieu dans les jours à venir », fait savoir le texte.

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